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RECE : découragement et lassitude des officiers d’état civil (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

Les mots utilisés pour évoquer le RECE sont toujours pour l’Administration projet, expérimentation. Or la CFDT-MAE ne s’accorde plus à utiliser ces mots pour qualifier le RECE.

La vérité est que le RECE est et sera leur nouvel outil métier de création et de gestion des actes d’état civil au Service Central et dans le réseau et ce, quoi qu’il en coûte et quelles que soient les conclusions du rapport de l’audit mené par  les Inspections Générales des Affaires Étrangères et de la Justice qui se sont rendues à Nantes il y a quelques semaines.

La CFDT-MAE considère que les jeux sont faits et que laisser croire qu’un retour en arrière est encore possible, est un leurre.

A ce stade, dans les deux cas, des réponses devront être fait aux agents.

Soit le RECE existe et les attentes de agents quant à sa mise en place et à son bon fonctionnement seront encore plus grandes,

Soit le RECE disparait et les agents, qui depuis ces 3-4 dernières années ont donné de leur temps, de leur énergie pour en voir la naissance et la mise en place, vont être dépités pour ne pas dire amères envers l’administration.

Lors de la réunion sur la réorganisation de la DFAE, le RECE a été abordé sur le plan calendaire, sur le plan numérique mais pas sur le plan humain. L’humain et les agents ne figurent pas au premier plan de votre discours.

Or les officiers d’état civil (OEC), même s’ils ont à cœur de mener à bien les missions qui leur incombent, arrivent aux limites de leurs possibilités. Leur activité est de facto liée aux flux du nombre des demandes des usagers et à l’effectif du MEAE pour y faire face (manque de personnel, congés, arrêts maladies).

Les opérations « coup de poings », ils connaissent, ils font face, ils répondent toujours présents et ils en sont remerciés toujours chaleureusement.

Mais, avec le RECE, s’y sont ajoutés de problèmes informatiques répétitifs, récurrents, incessants qui entravent leur travail  et leur motivation avec des bugs qui ont toujours les mêmes conséquences  :

  • les demandes traitées dans SAGA ne sont pas  transférées dans le RECE pour y être signées et expédiées
  • les OEC ne peuvent plus apposer leur signature dans le RECE cad finaliser leur travail
  •  les actes délivrés n’arrivent pas sur le « compte » Service Public de l’usager et il faut traiter les demandes à nouveau.

Ils ne comptent plus les mails des signalements d’incidents et de fin d’incidents qu’ils reçoivent.

Alors pourquoi ces bugs reviennent-ils encore et encore ? Doivent-ils s’attendre à ce qu’aucune résolution définitive n’advienne ?  Leur quotidien sera-t-il désormais celui-là ? Les OEC ne sont pas des experts en informatique et les inlassables explications en la matière, ils les connaissent par cœur mais s’en lassent.

Toutefois, ils s’accrochent à leur sens du service public et encore  aujourd’hui, ils se mobilisent afin de mener à bien l’opération de délivrance généralisée organisée sur 3 semaines afin de réduire le stock des demandes des usagers et  avec encore l’espoir peut-être fou qu’après celle-ci, début 2024, ils pourront enfin effectuer la délivrance des actes directement depuis le RECE, mettre ainsi à profit la formation qu’ils ont reçue en janvier dernier et reprendre espoir d’avancer dans la bonne direction, qu’une page se tourne.

La délivrance ne constitue pas à elle seule leur charge de travail. Il faut aussi faire les appositions de mentions, établir et mettre à jour les livrets de famille, établir les actes d’état civil des nouveaux naturalisés, transcrire les actes d’état civil etc … Et donc pendant qu’un stock diminue, d’autres augmentent et pour lesquels, n’ayant ni renforts, ni augmentation de leurs effectifs se seront les mêmes qui seront mis à contribution.

De plus, le SCEC, déjà en sous-effectif, va connaître, à partir de 2024 le départ à la retraite d’agents qui y ont fait une bonne partie, voir complètement leur carrière, et qui constituent la mémoire vivante de l’évolution de l’état civil et sont très utiles pour l’accueil et la formation des nouveaux arrivants, en complétement du travail formidable mené par les formatrices du SCEC.

Si la CFDT-MAE ne rejette pas cette modernisation, elle a pour le moins de sérieuses et réelles inquiétudes sur l’impact de tous ces facteurs sur l’attractivité du SCEC et sur les OEC eux-mêmes notamment en matière de risques psycho-sociaux. Elle souhaiterait donc que la DFAE clarifie ses priorités pour leur bien-être au travail et leur accompagnement à ce changement majeur dans l’histoire du SCEC et de facto, à l’avenir, pour les agents de nos postes consulaires.

Rémunération des ADL et hausse du coût de la vie (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT-MAE comprend d’après la note transmise sur l’inflation que l’administration a consenti une augmentation, plutôt un rattrapage de +256% de revalorisation des salaires des ADL à la mi-juin 2022 par rapport à l’année et demie précédente. La CFDT-MAE souhaite en connaître la répartition.

Par ailleurs, sur le terrain et dans tous les postes, la compréhension de cette augmentation faite par la commission “coût-vie” n’a pas satisfait les agents qui vivent mal l’inflation dans les différents pays et n’ont pas eu la réponse adéquate à leurs demandes de revalorisation adressées au Ministère via les postes. À titre d’exemple, 900 tracts CFDT à travers le monde ont été envoyés par les agents à la Ministre et au DGAM pour leur faire part de leur mécontentement. Malgré l’absence de réaction positive de l’administration, nous espérons que l’effort mentionné dans la note de l’administration pour la suite sera à la hauteur des attentes des agents qui menacent de faire grève dans certains postes.

2024, c’est dans quelques jours. Les agents ont besoin d’un signal fort de la part de l’administration pour afficher un sourire satisfait sur leurs lèvres et continuer à bien faire fonctionner ce Ministère.

Thèmes : ADL, Cadre salarial, Coût-Vie, Grille des salaires, Recrutés locaux, Rémunération

Réforme des titres d’identité et de voyage : encore une perte d’expertise en vue ! (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT-MAE a lu avec attention la présentation de la réforme de l’instruction des titres d’identité et de voyage pour les confier désormais au centre des titres d’identité et de voyage en centrale (CTIV), qui à son sens appelle plusieurs questions :

D’une part sur les objectifs de la réforme et les constats qui ont pu être à l’origine de ces recommandations, et d’autre part sur les conséquences de cette réforme sur la lutte contre la fraude, sur les usagers et sur les agents

Sur les objectifs de la réforme et les constats qui ont pu être à l’origine de ces recommandations

  • Renforcer la détection de la fraude : la note de la DFAE le précise concernant France visas, « il n’est pas prévu de mettre en place un service centralisé d’instruction des demandes de visa. L’expertise de nos agents est plus que jamais nécessaire pour instruire les demandes de visa au plus près du terrain, notamment compte tenu de l’impératif de la détection de la fraude documentaire ». Pourquoi la même logique ne s’applique-t-elle pas à l’instruction des demandes de titres ?
  • Sécuriser la chaîne de délivrance des titres en cloisonnant les fonctions d’instruction et de validation : cet objectif est aussi réalisable en poste (bonnes pratiques, blocage technique). A-t-on réellement constaté des problèmes de sécurisation ? Dans ce cas, il serait utile de savoir lesquels ?
  • En ce qui concerne l’égalité de traitement des demandeurs et la standardisation du traitement des demandes dans le réseau : s’agissant d’une démarche qui est un droit dès lors qu’on remplit les conditions, parle-t-on d’une appréciation arbitraire des agents instructeurs ou de différences liées au contexte local (validité de certains documents, prégnance de la fraude, exactitude du registre, problèmes d’extranéité ?)
  • Enfin, en ce qui concerne l’allègement du travail des postes : l’éloignement entre l’instructeur et l’usager risque au contraire d’alourdir le travail des agents chargés des recueils complémentaires. A-t-on réellement mesuré le gain de temps attendu ? On peut se référer à l’expérience des « pôles consulaires régionaux » mis en place en 2009-2010, qui se s’étaient révélés un échec en termes de productivité et de service aux usagers.

Sur les conséquences de cette réforme sur la lutte contre la fraude, sur les usagers et sur les agents

  • Sur la fraude :
    • A l’heure où la lutte contre la fraude est un objectif majeur du Département (et du gouvernement), cette réforme va dépouiller les postes de l’expertise liée à l’instruction des dossiers. Le recueil de demandes de TIV pourra être dévolu aux seuls ADL, qui ne disposeront plus de référents titulaires. Aujourd’hui, le CTIV apporte un soutien précieux aux postes dans la gestion de la fraude et des cas particuliers, en dialogue permanent avec les postes ; mais qui sera demain, localement, l’interlocuteur compétent pour le CTIV ?
  • Il est à craindre que cette déresponsabilisation du poste n’entraîne une mécanisation du recueil (mais aussi et de l’instruction), et une perte de vigilance des agents qui recevront les demandes (comme on peut le constater dans les mairies), au lieu d’agents qui comprennent la finalité des contrôles qu’ils effectuent, qui connaissent les spécificités de leur registre, et qui travaillent en équipe avec les instructeurs et avec les agents de l’état civil. Sans parler de l’importance des acteurs locaux pour la lutte contre la fraude sociale, en plein développement en poste.
  • Sur le service rendu aux usagers à l’heure de Service Public Plus :
    • La référence aux CERT n’est pas rassurante : ces dernières années, aux délais de rendez-vous subis par les usagers en France, se sont ajoutés les délais de validation par les CERT, de plusieurs semaines parfois. Le CTIV valide actuellement dans des délais courts, mais de quelle capacité d’adaptation dispose-t-il en cas d’engorgement ?Un usager qui dépose sa demande de titre en mairie voit sa demande noyée parmi les milliers d’autres demandes traitées par des CERT en charge de plusieurs départements. L’agent de recueil n’est pas compétent pour gérer une situation particulière et n’a pas de contact privilégié avec le CERT pour signaler un cas.Aujourd’hui, le CTIV, dont la réactivité des agents est appréciée en poste sur les cas juridiquement complexes, est capable d’apporter une réponse personnalisée aux services qui en ont besoin, et de prendre en compte les spécificités de chaque pays.  Qu’en sera-t-il demain, avec la gestion de trois fois plus de pays et de spécificités ?
    • Ce n’est pas qu’un constat post Covid : depuis des années les postes sont plus performants que la France en matière de délivrance de titres, et ce même avec les délais de valise ; Il est dommage que cette excellence soit aujourd’hui menacée, au détriment de la communauté française.
  • Sur les agents :
    • En termes de charge de travail, le temps de validation est marginal comparé au temps nécessaire au recueil ; la réforme ne générera que peu de temps supplémentaire pour la réception, peut-être même pas du tout si on considère le surcroit des échanges nécessaires entre Centrale et poste.
    • En bref, la logique de cette réforme n’est-elle pas uniquement financière, en remplaçant des postes de titulaires C par des postes d’ADL, et même à terme en externalisant le recueil des demandes de titres, ou en le numérisant en totalité ?

En conclusion, cette centralisation se traduit par un taylorisme aux deux bouts de la chaîne : du côté du recueil en poste, mais également du côté de l’instruction en Centrale, conduisant à une perte d’expertise et à une perte de sens de leur travail pour l’ensemble des agents de la chaîne.

Formation à l’apprentissage de la langue des signes (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT-MAE a bien lu la proposition de l’administration sur l’apprentissage de la langue des signes, et trouve cette proposition insuffisante. 

La CFDT-MAE réitère sa demande que “l’apprentissage de la langue des signes” soit intégré dans l’offre permanente des cours extensifs et intensifs de langue du Département car il s’agit d’une langue à part entière au même titre que les langues parlées.

La CFDT-MAE demande que la formation pour l’apprentissage de la langue des signes soit ouverte à tous les agents en administration centrale comme à l’étranger, car trop souvent seuls les agents dans le périmètre du service d’affectation de nos collègues en situation de handicap suivent cette formation, ce qui limite les possibilités d’échange pour nos collègues sourds ou malentendants.  

La numérisation des dossiers administratifs des ADL nécessite des moyens renforcés (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT-MAE félicite l’administration pour la mise sur pied du projet “Expresso” qui a pour objectif non seulement de numériser tout le réseau, mais également de répondre aux besoins spécifiques des agents de droit local, notamment l’accès à leurs dossiers individuels dans lesquels ils pourront trouver, par exemple, les éléments nécessaires et un argumentaire à leur évolution professionnelle.

La CFDT-MAE a pris connaissance du projet qui a pour objectif de numériser tout le réseau en 2024.

La CFDT-MAE souhaite savoir, premièrement, si l’administration a effectué une évaluation auprès des postes bénéficiaires, ensuite elle souhaite connaître qui pilote le projet dans les postes, et enfin notre organisation demande à connaître le bilan de l’expérimentation dans les 7 postes pilotes.

À notre connaissance, les dossiers des agents ne sont pas alimentés au fil de l’eau, et nous nous interrogeons sur les moyens donnés aux postes pour atteindre les objectifs fixés.

RI des ADL : harmonisation entre la Chancellerie, le Consulat et les IF (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT-MAE souhaite aborder la question des règlements intérieurs (RI) des agents de droit local (ADL) :

Les postes doivent, en accord avec les dispositions du droit local, mettre en place un règlement intérieur.
Le règlement Intérieur constitue un guide à la disposition du chef de poste, des gestionnaires et des agents de droit local eux-mêmes. Ce document, qui traduit un souci de transparence et de dialogue avec les agents, est élaboré en concertation avec l’avocat conseil du poste, spécialisé en droit du travail et le Bureau des recrutés locaux.

La CFDT-MAE aimerait connaître le nombre de postes disposant de règlement intérieur des ADL et en particuliers le nombre de règlements intérieurs des ADL à jour par rapport à la législation locale du travail.

L’administration se dit favorable à l’harmonisation des règlements intérieurs dans les postes entre la Chancellerie, le Consulat et les Instituts français :

Question 1: quelles mesures sont prises par l’administration pour contrôler que cette harmonisation se fait ?
Question 2: comment expliquer qu’en 2023 des règlements intérieurs d’Institut Français sont toujours validés par la DGM ?

Enfin, la CFDT-MAE souhaite que l’administration rappelle aux COCACs qu’ils ne peuvent échapper aux règles du dialogue social à l’étranger et faire valider leur règlement intérieur en consultant les représentants du personnel du CSAPE.

L’attribution de la médaille du travail doit être négociée avec les représentants du personnel (CSAM novembre 2023)

17 décembre 2023

La CFDT souhaite souligner que bon nombre d’agents recrutés locaux peuvent prétendre aux divers échelons de la médaille d’honneur du travail, tels que la médaille d’argent après 20 ans d’ancienneté, la médaille de vermeil après 30 ans, voire la grande médaille d’or après 40 ans de service, au moment de leur retraite.

De plus, selon les textes, il est prévu qu’en cas d’accord écrit négocié entre les représentants des salariés et l’employeur, l’employeur peut verser une somme d’argent pour récompenser les services ou accorder un ou plusieurs jours de congé. Fin de citation.

La démarche pouvant être initiée aussi bien par l’employé que par l’employeur, la CFDT-MAE demande l’attribution de cette distinction honorifique aux RL, surtout à ceux qui la demandent, en fonction des années d’ancienneté travaillés, et avec une gratification que l’administration et les représentants du personnel auront négocié et signé.

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Marylise Léon présente la CFDT

https://youtu.be/mLU9Wqmyico

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La CFDT revendique l’IFSE majorée pour TOUS les agents du SCEC (CSAC 27/03/2025)

Nos collègues de l’IFAAC méritent une meilleure prime ! (CSAC du 27/03/2025)

Revalorisation des formatrices et formateurs du SCEC

Vers un meilleur accompagnement des agents de retour en centrale (CSAC du 27/03/2025)

Qu’est-ce que la prime spéciale d’installation (PSI) ? (CSAC du 27/03/2025)

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