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CTM des 24 et 25 mai 2018 – la GPEEC au MEAE ou la chronique d’une mort annoncée

20 août 2018

La CFDT revient sur son intervention, au comité technique ministériel de mai dernier, sur l’exercice en cours de gestion prévisionnelle des emplois, des effectifs et des compétences (GPEEC).

  • Remarques liminaires

La CFDT redit son attachement à l’exercice GPEEC

La CFDT redit son attachement à l’exercice, souligne une nouvelle fois la chape de plomb qui a pesé sur les services lors de la formulation de leurs demandes, et ceci est d’autant plus frappant, a posteriori, que le pari sur le maintien du périmètre élargi du MEAE a été gagné. C’est encore plus étonnant lorsqu’on met ceci en relation avec l’ambition affichée « d’ambassades unifiées, lieux d’une vision intégrée de l’action extérieure de la France ».

La réalité n’est pas dans le dossier…On le sait

On sait, comme on l’a dit au cours de ce CTM, que la réalité n’est pas dans le dossier et si le CTM avait eu lieu après la signature de ce qui se trouve sur les bureaux, ledit dossier eût été, pour refléter la réalité, tout autre, notamment s’il avait été élaboré après le rendez-vous de la fin juin avec le Premier ministre. On le sait.

C’est donc dans un contexte marqué par une hypothèse qui dépasse non seulement l’entendement, mais tout ce qui a été d’actualité jusqu’à présent, que se situe la présente prise de parole. On sait que le pire est devant nous et que la GPEEC va être broyée par  AP 2022. 

  • Remarques sur la méthode suivie

La clarification et l’actualisation des fiches métiers

La clarification et l’actualisation des fiches métiers (NOMADE) et de poste est sensible et pertinente, on a noté dans la filière RH les emplois-types de « coach interne » et de « chargé(e) de la prévention des risques professionnels » (assistant de prévention), dont le caractère essentiel de la fonction doit être reconnu, tout comme ne nous a pas échappé la fiche « auxiliaire de vie professionnelle », qui marque la reconnaissance d’une fonction à valoriser, dans le cadre d’une politique en faveur des collègues en situation de handicap.

Sur la fiche « psychologue » : on n’est bien évidemment pas contre mais l’on constate la grande diversité des domaines d’intervention : recrutement, suivi, dans un rôle de préventeur des RPS (souvent hélas de préventeur tertiaire), sensibilisation / formation. Dès lors on peut craindre, si c’est la même personne qui intervient, pour les mêmes agents dans tous ces domaines, des conflits de valeurs pour les psychologues eux-mêmes et des freins, voire des obstacles pour que les agents consultent en toute confiance.

Le lien avec la médecine de prévention reste à clarifier dans la perception des agents.

La CFDT soutient la démarche consistant à affirmer le caractère transversal de la compétence « déontologie »

D’accord bien évidemment avec la démarche consistant à affirmer le caractère transversal de « la connaissance des règles de déontologie », et la CFDT renouvelle sa demande à l’administration de progresser sur le terrain à cet égard, et de mettre en pratique la tolérance zéro qui souffre bien des entorses, voire des fractures face à des comportements qui appellent des réactions et actions immédiates. Tel n’est pas encore le cas aujourd’hui. Et là, ce n’est pas Bercy qui bloque…

L’élaboration d’un répertoire de compétences satisfait la CFDT

Sur l’élaboration d’un répertoire des compétences nécessaires au MEAE, elle satisfait la CFDT qui dès le lancement des travaux GPEEC, avait souligné la nécessité d’un répertoire des compétences détenues par les agents au fur et à mesure du déroulement de leur parcours, (une sorte de millefeuille individuel des compétences).

Un lien en effet est à faire entre compétences ministérielles et agents qui la détiennent, au nom de leurs fonctions actuelles mais aussi antérieures, et de celles qu’ils sont disposés à acquérir : le lien à faire avec FANEV, qui ne peut pas se borner à être une photo de l’instant T est à établir. La CFDT ne tire pas à boulets rouges sur FANEV, qui est à faire évoluer, mais certainement pas à jeter.

L’exercice de cartographie est nécessaire.

Ce travail doit permettre de cartographier toutes les compétences nécessaires pour exercer les métiers du MEAE en termes de savoirs, de savoir-faire et de savoir-être et d’être capable d’en donner une définition, en liaison avec le dictionnaire interministériel des compétences des métiers de l’Etat (DICO).

La CFDT attend avec intérêt la mise en œuvre de l’application « PrévoiRH »

A l’aide d’une codification appropriée, les compétences seront intégrées dans le SIRH du Département par le biais d’un enrichissement de FANEV et le développement de l’application ministérielle « PrévoiRH », en particulier son module dédié GPEEC.

Thèmes : CTM

CTM des 24 et 25 mai 2018 : la CFDT se prononce pour une politique intégrée et globale des conjoints et des familles

15 août 2018

La CFDT revient sur son intervention, au comité technique ministériel de mai dernier, sur les perspectives 2018 et le bilan 2017 de la délégation aux familles (DELFAM).

  • La CFDT reste attachée à une politique intégrée et globale en faveur des conjoints et des familles

La CFDT-MAE rappelle, comme elle l’avait fait en novembre 2016 lors de la réunion de lancement de la Délégation, tout son attachement à une politique intégrée et globale en faveur des conjoints et des familles. En effet, il va sans dire que le terme « familles » se comprend au sens large, ce qui inclut les concubins et les partenaires de même sexe.

La CFDT soutient la démarche

Nous soutenons bien entendu la démarche car elle est le corollaire d’une expatriation réussie d’autant que les familles et les cultures évoluent. De moins en moins de conjoints acceptent de s’expatrier s’ils ne peuvent trouver un emploi dans le pays d’affectation.

Combattre les freins à la mobilité des agents

C’est pourquoi, si cette problématique n’est pas anticipée, elle peut devenir un frein à la mobilité des agents. Afin d’y remédier, il parait nécessaire :

-de généraliser les correspondants « accueil » dans les postes ;

-d’actualiser les livrets d’accueil dans leurs chapitres emplois, petite enfance, scolarisation et situation familiale des conjoints pour que les familles puissent réaliser des vœux cohérents sur la Transparence et éviter l’autocensure ;

Cela permettrait de réduire le nombre de pays situés dans ce qu’on peut appeler les « zones grises » qui sont ces pays où ni l’autorisation ni l’interdiction de travail du conjoint et la situation administrative des concubins ne sont clairement affichées. (Bien sûr, tout en veillant à la confidentialité de ces informations internes aux seuls agents MEAE).

Nous relevons aussi que l’accès au logement représente un enjeu important pour les personnels en situation de handicap qui, par crainte de ne pas retrouver de logement accessible à leur retour de poste, préfèrent ne pas se projeter dans une expatriation.

La CFDT salue le travail effectué par la DELFAM et prône une approche globale de la problématique familiale

La CFDT relève que la délégation aux familles vise à une meilleure conciliation entre vie personnelle et vie professionnelle notamment à travers l’emploi du conjoint et la scolarisation des enfants. D’ailleurs, la DELFAM indique que ces deux items représentent à près la moitié des sujets de préoccupation évoqués par les agents au cours de la centaine d’entretiens qu’elle a menée en 2017. La Délégation précise également qu’elle apparaît comme un point d’entrée utile pour les agents et leurs conjoints sur d’autres thématiques liées à leur situation familiale (retraite, santé, handicap…) en lien ou pas avec l’expatriation.

Cela confirme, pour la CFDT-MAE, que les questions sont bien multiples et justifie notre souhait d’approche globale de la problématique familiale puisque d’autres acteurs doivent y prendre pleinement part tels que la Délégation pour la Politique Sociale (logements notamment), la DAF pour les suppléments familiaux et la révision des ICR et la médecine de prévention pour l’extension de la visite médicale à l’ensemble des membres de la famille…

Thèmes : conjoints, CTM

CTM des 24 et 25 mai 2018 : la CFDT-MAE refuse le plan « Action Publique 2022 »

15 août 2018

La CFDT-MAE revient sur son intervention très critique, au comité technique ministériel (CTM) des 24 et 25 mai dernier, sur le programme « Action Publique  2022 » et ses conséquences néfastes pour le Département, en particulier les nouvelles suppressions d’emplois qui sont prévues.

  • Rappel brut du contexte

La CFDT rappelle son refus catégorique des objectifs de réduction d’effectifs assignés au Département qu’elle a déjà exprimé, lors de la 1ère journée du CTM, dans son discours au Ministre.

Une méthode incohérente, amnésique et non soutenable

La méthode est non seulement incohérente, amnésique et non soutenable pour atteindre l’objectif affiché (qualité du service public), mais de plus elle apparait cynique dès lors que l’objectif réel, purement comptable, avalise le fait qu’on gère le service public comme une entreprise. Or la puissance publique / l’Etat compte tenu des missions qui sont les siennes, ne peut être un employeur comme les autres.

Des mesures déjà décidées pour le ministère

La fiche de séance présente comme à venir des mesures déjà décidées pour le ministère afin que le couperet tombe …demain, et demain, on y est. L’essentiel est ce qui n’est pas dans le dossier.

Notre administration, on le sait, est entre l’enclume et le marteau et ne semble pas, bien que ce ministère rassemble une forte densité de professionnels de la négociation, disposer de marge de manœuvre. Quid de la combativité du ministère au plus haut niveau ? On a l’impression que c’est là qu’on souscrit à tout.

  • Ce qui est traité dans la fiche transmise aux syndicats

Quel est le pouvoir du ministère sur la sincérité de l’exercice qui consiste, pour les autres administrations, à mettre au pot les emplois support ? Lorsque dans l’adresse au ministre, la CFDT parlait d’un jeu de dupes pour le MEAE, elle avait à l’esprit l’attitude de Business France, qui refuse le dialogue avec l’agence « extérieure de l’Etat » et n’en réfère qu’à sa centrale, ça promet… Quant à la Défense, qui sait faire passer du « support » pour du « métier », on ne peut là encore, qu’être sceptique.

Sur ce qui est du travail consulaire, envisagé sans bilan d’expérience de précédentes rapatriations des services – méthode amnésique – (cf. les menaces sur le réseau diplomatique et consulaire en Europe), on n’a cessé de dénoncer le leurre de la dématérialisation.

Pour les PPD, la CFDT avait avancé le terme de la dernière étape vers l’ambassade virtuelle ; or, mutatis mutandis, on y va pour le consulaire, dont le cœur de métier est bien le contact avec l’usager. Les mauvaises économies vont coûter cher.

  • Ce qui n’est pas dans la fiche…

Quid de l’affirmation : « non, il n’y aura pas de 3ème vague de PPD » ?

Quid des perspectives des instances de dialogue social et du rétrécissement du champ du dialogue social ?

Ce dernier est en effet mis en péril alors même qu’aucun bilan n’a été fait des accords de Bercy de 2008 sur la rénovation du dialogue social qui ont élargi le champ des négociations, introduits en 2010 dans la loi statutaire de 1983. Dans notre ministère, même s’il doit trouver sa vitesse de croisière dans le réseau, il fonctionne bien en administration centrale.

– La CFDT est opposée à la fusion annoncée des comités techniques (CT) et des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT), qui lorsqu’ils coexistent, répondent à des besoins et des méthodes de dialogue social différents. Certes connexes puisque les premiers (CT) examinent les conditions DU travail en général, et les seconds, comme leur nom l’indique, les conditions DE travail in situ. Chacun d’entre eux met en œuvre des moyens différents ; ils ne correspondent pas au même exercice. C’est dans le cadre des CHSCT que peuvent être pointés précisément les dysfonctionnements notamment managériaux. Les instances sont ce que l’on en fait et au MEAE, les instances dédiées aux questions HSCT fonctionnent. La configuration du dialogue social en poste ne doit pas servir d’argument à la DGAFP pour imposer le modèle en centrale, à laquelle il n’est pas pertinemment transposable.

L’inquiétude est de mise également pour les commissions administratives paritaires, dont les attributions seraient concentrées « sur l’examen des décisions ayant un impact négatif sur la carrière des agents ». C’est là nier les CAP dans leur rôle de discussion sur les perspectives de chaque corps de fonctionnaires et d’échanges sur les questions spécifiques à chacun d’entre eux. Ce forum privilégié disparaitrait pour se transformer en une séance sur des items irritants ou disciplinaires.

Thèmes : CHSCT, CTM, PPD

CTM des 24 et 25 mai 2018 : et si on parlait de sécurité ?

8 août 2018

La CFDT-MAE vous propose de revenir, en cette période estivale, sur son intervention au comité technique ministériel (CTM) de mai 2018 sur la sécurité des agents et des implantations en France et à l’étranger.

Cet article, qui sera suivi par d’autres tout au long du mois d’août, vise à compléter – dans un souci d’information et de transparence envers les collègues – nos publications précédentes consacrées aux prises de parole de la CFDT lors du dernier CTM telles que le discours au Ministre pour exprimer notre refus des objectifs assignés au Département dans le cadre du plan « AP 2022 », les points de désaccord avec l’administration sur la gestion des affectations à l’étranger, les menaces pesant sur le réseau diplomatique et consulaire en Europe, les questions récurrentes et sans réponse du réseau culturel et de coopération et la programmation 2019 sans visibilité des effectifs du Département.

  • Traitement vexatoire des prestataires de service à Nantes

Comme elle l’avait déjà fait lors du CTM précédent, la CFDT-MAE signale en séance le traitement, ressenti comme vexatoire, que subissent les salariés des prestataires : ils sont toujours fouillés à l’entrée du bâtiment alors mêmes qu’ils travaillent, parfois depuis des années, sur des applications sécurisées. Pour la CFDT, cette situation est paradoxale quant à la confiance qui leur est accordée par le Département.

Notre organisation syndicale interroge le directeur de la sécurité diplomatique pour savoir s’il ne serait pas possible de distinguer, dans le respect des règles de sécurité en vigueur, les salariés prestataires de longue date de ceux qui effectuent des missions ponctuelles.

L’administration répond qu’il est essentiel que les procédures soient appliquées et que « tous les prestataires doivent être contrôlés » conformément au plan « Vigipirate ». Pour Breil III, ces contrôles ont été validés par le secrétaire général lors de leur mise en place.

  • Certains points concernant la sécurité à l’étranger restent à éclaircir

La CFDT-MAE souhaite obtenir un certain nombre de précisions sur notre politique de sécurité à l’étranger en faveur des agents et de nos implantations. Pour des raisons évidentes, nous ne ferons référence à ces sujets qu’en termes généraux et n’évoquerons, plus spécifiquement, que les informations déjà publiques.

Budget sécurité

Notre organisation syndicale réclame, au moins en séance, une cartographie qui permette de connaître où et comment seront déployés les 4,8 millions d’euros de crédits budgétaires notamment sur le point « missions de renfort, d’audits et de conseils ».

Réseaux culturels et scolaires

La CFDT demande un bilan sur les campagnes d’audits des sites culturels et scolaires. Ce point est très peu détaillé dans la fiche de présentation alors qu’une attention toute particulière devrait leur être consacrée.

Travaux à Kinshasa

Notre organisation demande confirmation à l’administration des travaux prévus à Kinshasa pour cette année.

La Direction de la sécurité diplomatique (DSD) rappelle le montant de 80 millions de son budget 2018 et fait valoir que la moitié de ses crédits sera consacrée à la sécurisation des emprises diplomatiques, consulaires et culturelles à l’étranger (les EAF étant gérés par la DSD). Elle confirme que plusieurs centaines d’audits de sûreté des sites culturels et scolaires (alliances françaises et lycées) ont été réalisées par des policiers, des gendarmes et des référents sécurité.

La DSD explique que tous les pays sont classés en fonction de l’importance et de la nature des menaces : pays en guerre ou en crise, pays touchés par des menaces récurrentes terroristes, pays confrontés à des menaces politiques, sociales et à une criminalité récurrente, pays de l’OCDE et autres pays. Les agents affectés dans des postes situés dans les deux premières catégories doivent obligatoirement suivre un stage avant leur départ.

Absence de point d’information sur Ouagadougou

Après l’attaque du 2 mars dernier, les collègues trouvent très « étrange » qu’il n’y ait pas de point sur le Burkina Faso. Une mission de la DSD est venue, « plein de choses » auraient été décidées, les agents n’ont pas été informés. Il serait bien d’avoir le calendrier des travaux prévus pour ce poste (compte tenu d’un certain nombre d’éléments inquiétants qui nous ont été transmis par les personnels sur place…).

L’administration précise qu’il appartient au poste de communiquer sur ce sujet. Elle souligne que ce sont des entreprises françaises qui effectuent ces travaux « sur-mesure » et que cela prend naturellement du temps. Sur les conclusions de son audit, la DSD distingue entre sécurité passive et active.

Thèmes : CTM, sécurité des agents, sécurité des sites

CTM des 24 et 25 mai 2018 : rien de nouveau à l’horizon pour les affectations à l’étranger

9 juillet 2018

La CFDT revient sur son intervention, au comité technique ministériel de mai dernier, sur le déroulement du « mouvement » 2019 des agents et le bilan 2018. Notre organisation syndicale interroge, plus particulièrement, l’administration sur des questions récurrentes portant sur l’affectation des agents du ministère dans le réseau culturel et de coopération, le traitement des candidats prioritaires, la prise en compte des vœux, la nouvelle pratique d’affectation des catégories A ainsi que la comptabilisation des affectations en France pour le calcul du temps de séjour à la Centrale.

  • Ouverture limitée des postes offerts dans le réseau culturel ?

Sur le principe d’ouverture du réseau culturel et de coopération, notamment aux secrétaires de chancellerie, la CFDT est satisfaite que sa revendication d’offrir aux agents du ministère la possibilité de postuler sur des emplois qui ne relèvent pas d’une expertise scientifique ou pédagogique, ait été acceptée par l’administration. Néanmoins, la procédure d’affectation dite « collégiale » est complexe, faisant intervenir RH2, RH3 et le pôle « emplois, filières et métiers » de la DGM. Pourquoi faut-il que la candidature d’un titulaire passe devant RH3 dont ce n’est pas le métier ? Et pourquoi faut-il qu’elle passe aussi devant la DGM, sachant, à titre de comparaison, que la candidature d’un secrétaire de chancellerie sur des fonctions consulaires ne nécessite aucunement de passer devant la DFAE, même si elle peut être interrogée ?

Enfin, combien de postes de secrétaires généraux (SG) ou de secrétaires généraux adjoints (SGA) ont été proposés à la transparence 2018 et combien d’agents B ont été finalement affectés sur ces postes?

L’administration répond qu’il est difficile de confier l’ensemble de la procédure à RH2 qui ne pourra pas la suivre jusqu’au bout. Seule RH3 a une vision d’ensemble en la matière. Elle précise que 9 agents de catégorie B ont été affectés en Instituts.

  • Les agents « prioritaires » sont-ils si prioritaires que cela ?

Les agents dits « prioritaires » sont très nettement définis par catégorie (A : 4 ans en administration centrale et deuxième poste à l’étranger, B : idem, C : 3 ans en administration centrale et deuxième poste à l’étranger). L’administration précise noir sur blanc que leur candidature « est examinée en priorité » « parce que le tour est venu pour l’agent de partir à l’étranger ».

Néanmoins, lorsqu’on examine les chiffres, cette belle idée devient plus floue. En ce qui concerne les catégories B par exemple, l’administration indique qu’à ce jour, « 38 agents inscrits en transparence initiale sont des déçus du mouvement, plus de la moitié étant non prioritaires ». Il y a donc une autre moitié de ces 38 déçus qui étaient prioritaires mais n’ont pas été fléchés… On se retrouve bien souvent avec des prioritaires qui ne partent pas et des non-prioritaires qui partent…

Réponse de l’administration : les « candidats prioritaires » sont ceux qui sont traités en priorité par l’administration. Mais certains de ces candidats n’ont demandé qu’un seul poste ou des destinations qui sont très demandées comme New York et il est donc difficile de les satisfaire (75% des candidats postulent sur 7% des postes à pourvoir).

Pour la CFDT-MAE l’autre sujet d’inquiétude est le mouvement des ASIC qui n’est pas satisfaisant. Pour la moitié des affectations, la DRH n’a pas respecté les règles de gestion qu’elle a elle-même fixées, c’est-à-dire 4 ans en Centrale avant de candidater à un départ et pas de poste à poste).

  • Prise en compte des vœux…

La CFDT-MAE estime qu’il existe une incohérence entre la réalité présentée par la DRH et celle vécue par les agents. D’une part, il est noté dans la note de séance qu’il n’y a pas eu de candidature sur un poste de numéro 2 en Afrique alors que nous avons connaissance de la candidature d’un titulaire sur ce poste. D’autre part, sur le mouvement central, il est indiqué qu’à la date du 13 avril, 83 % des titulaires B auraient été affectés sur leur premier vœu alors que le mouvement en est encore à ses débuts et que les CF d’affectation ont tout juste commencé à être envoyés à partir du 11 mai.

Pour l’administration, il est difficile de satisfaire les agents qui postulent sur des postes très demandés.

  • Nouvelle pratique d’affectation des catégories A

Les catégories A sont désormais « incités » à prendre l’attache des postes. Sur cette nouvelle pratique d’affectation, on nous dit que cela permet une meilleure adéquation des profils aux postes, certes. Mais cela privilégie surtout les stratégies individuelles et les fait primer sur une vision plus responsable et plus globale des ressources humaines.  Si la DRH délègue aux chefs de poste son rôle d’affectataire, est-ce un aveu d’échec ? Comment peut-elle ensuite faire valoir la transparence des affectations ?

  • Vous avez dit communication ?

L’administration prône « un dialogue suivi avec les agents ». Or si les candidats sont bien informés quand on retient leur candidature, trop souvent, ils ne sont pas avertis si cette candidature est refusée. Il faut garder à l’esprit que les vœux engagent les agents, engagent des années de leur vie, mais engagent aussi leur famille, leur conjoint, leurs enfants…  Nombreux sont ceux qui ne sont pas retenus mais restent tout de même dans l’expectative, alors qu’ils pourraient déjà  se repositionner sur des appels complémentaires. Serait-il possible d’améliorer les échanges avec les agents, de limiter les délais de réponse et surtout de tenter d’informer sur les refus au plus tôt ?

L’administration reconnait qu’il sera difficile de parvenir à une communication parfaite mais qu’il y a une marge de progression vers un suivi plus individualisé de chaque agent.

  • Comptabilisation du temps de séjour à la Centrale

La CFDT souhaiterait la confirmation que l’affectation en mobilité sur le territoire métropolitain et dans les départements et régions ultramarins (DROM) d’un agent est comptabilisée comme une affectation à l’administration centrale, et qu’elle entre bien dans le cadre de la mobilité statutaire.

Commentaires :

Même si nous n’avons pas obtenu de réponse sur le champ à cette dernière interrogation, la question reste posée. C’est une question de « transparence » pour nos collègues, actuellement détachés ou mis à disposition auprès d’une autre administration ou d’un autre organisme public en France (hors position normale d’activité), qui souhaitent partir à l’étranger.

Thèmes : Affectations, CTM, Postes à l'étranger

CTM des 24 et 25 mai 2018 : questionnement de la CFDT sur le réseau culturel et de coopération

4 juillet 2018

La CFDT revient sur son intervention, au comité technique ministériel de mai dernier, sur l’évolution du réseau culturel et de coopération. Notre organisation syndicale met en avant, plus particulièrement, son questionnement récurrent sur l’adaptation du réseau culturel, le statut des établissements à autonomie financière (EAF), la complémentarité entre les Instituts français et les Alliances françaises ainsi que la cotutelle exercée sur les opérateurs du secteur.

  • Stratégie d’ensemble, adaptation locale ou simple logique comptable ?

Pour la CFDT, il serait utile de distinguer ce qui relève d’une stratégie d’ensemble du ministère d’adaptation du réseau culturel et de coopération, qu’il convient alors de décliner, de ce qui relève d’une adaptation locale, parfois nécessaire, ou encore d’une logique comptable de suppression d’ETP ou de baisse des subventions. Cette distinction n’apparaît pas clairement dans la fiche de présentation : qu’en est-il ?

La Direction générale de la mondialisation, de la culture, de l’enseignement et du développement international (DGM) répond que le réseau culturel s’inscrit dans une stratégie d’ensemble : un réseau universel qui doit être adaptable. En 2018, les crédits connaissent une augmentation de 2,2 %, ce qui est exceptionnel.

  • Statut des établissements à autonomie financière (EAF)

Sur le statut des EAF, la CFDT souhaite un point d’actualité précis. La fiche donne l’impression que rien ne bouge et que cela arrange tout le monde… Mais jusqu’à quel point ? Lorsque Bercy avancera sa solution, ne regrettera-t-on pas de ne pas avoir pris les devants ? Le Ministre a évoqué hier, sur ce sujet comme sur celui des contrats des agents des Alliances françaises, une solution législative : quelle est-elle ?

La DGM indique que, s’agissant du statut juridique des EAF, le Premier ministre veut réactiver le groupe de travail dédié. Il s’agit de répertorier les solutions envisageables pour mettre fin à la difficulté constatée (incompatibilité du statut des EAF avec la LOLF) et de faire prendre en compte la spécificité des EAF, où l’autofinancement atteint en moyenne un taux de 69 %. Il s’agit de faire l’inventaire des solutions envisageables, étant observé que la piste à privilégier pour le Département reste celle d’une modification de la LOLF.

  • Complémentarité entre les Instituts et les Alliances françaises ?

Sur la complémentarité des Instituts français et des Alliances françaises, ainsi que celle de leurs sièges, la CFDT souhaiterait également un point d’actualité. Quelle est la stratégie adoptée ? Pourquoi ce malaise à la Fondation Alliance française ? Peut-on connaître les conclusions de la mission confiée sur ce sujet à Pierre Vimont, mission évoquée par la DGM lors du précédent CTM ? Qu’en est-il du cas de Tunis, qui a une portée symbolique puisque la décision a été prise d’installer une Alliance à quelques kilomètres de l’Institut ? On a entendu hier l’engagement du Ministre à sortir « définitivement » de l’obligation d’obtenir tous les ans un « passer outre » avant de signer les contrats des agents expatriés dans les Alliances françaises. Seront-ils considérés comme entrant désormais dans le cadre juridique des experts techniques internationaux (ETI) ? Ou comme des employés de la Fondation ? Dans l’attente, une solution provisoire immédiate est-elle en place ?

Sur la complémentarité entre les IF (124, plus les IFRE : Instituts français de Recherche à l’Etranger) et les Alliances françaises (plus de 800), la DGM précise que le Gouvernement souhaite augmenter le nombre de ces dernières de 10 par an, l’objectif étant de garantir un maillage territorial efficace. Le maillage proposé en Tunisie a été validé par le Président de la République, dont une Alliance dans une banlieue de Tunis, qui ne concurrencerait pas l’IF en raison du nombre important des demandes de cours de français. L’administration est cependant consciente qu’il faut être vigilant quant à l’Alliance de Bizerte.

Pour la DGM, la mission confiée à M. Vimont porte certes sur un rapprochement de l’IF et de la Fondation Alliance française, mais la mission ne concerne que les structures parisiennes. Le rapport conclut au bien-fondé d’un tel rapprochement. Les modalités de ce rapprochement, qui n’auront aucun effet sur le réseau de l’Etat à l’étranger, ne sont pas encore décidées (GIE, dissolution de la Fondation, reprise par l’IF…). L’objectif de la réforme est que ces deux structures servent mieux les réseaux. Il s’agit d’arriver à ce que les fonds qui transitaient par la Fondation soient directement affectés aux ambassades.

Enfin, sur le recrutement des directeurs d’Alliances françaises, la DGM confirme que le « passer-outre » du CBCM a été obtenu et les recrutements en attente seront effectués.

  • Quelle stratégie pour piloter les opérateurs ?

Sur la cotutelle des opérateurs, la CFDT note que, si les réalités des opérateurs (Institut français, AFD, Expertise France, Campus France, etc.) sont bien décrites dans leur diversité, la stratégie globale de la DGM pour piloter cet ensemble conséquent de 8 opérateurs n’y est guère développée. Qu’en est-il ? Combien d’agents sont-ils à l’œuvre pour coordonner et assurer cette cotutelle ? Ce sont des métiers pérennes, des missions d’avenir pour nombre d’agents au ministère, il importe donc de les mettre en valeur et de vérifier s’ils peuvent atteindre les résultats attendus d’eux.

Quant à la tutelle sur les opérateurs, la DGM se borne à en rappeler les structures compétentes en la matière : la DPO exerce la tutelle budgétaire, les directions sectorielles exercent la tutelle stratégique.

Remontées de recettes réclamées à 35 EAF

Enfin, s’agissant cette fois d’une réalité nouvelle, la CFDT souhaite en savoir davantage sur les remontées de recettes réclamées à 35 EAF, des « Espaces Campus France » qui sont impliqués dans la procédure « Etudes en France ». S’agit-il de régler une difficulté budgétaire conjoncturelle ? Si c’est le cas, pourquoi avoir choisi cette solution inédite ? Ou s’agit-il de mettre en œuvre un autre type de relation, du bas vers le haut, ou de la périphérie vers le centre, entre les Espaces Campus France de l’étranger et l’opérateur Campus France, au financement  duquel ils contribuent ainsi ? Ceci annonce-t-il des solutions de ce type avec d’autres opérateurs ?

Quid du coût-vie pour les recrutés locaux des EAF ?

A la question posée sur la prise en compte du coût-vie pour les recrutés locaux des EAF, la DGM répond que : « les moyens alloués au coût-vie dans les EAF dépendent des ressources propres dont disposent les EAF, c’est pourquoi 12 EAF n’en ont pas bénéficié cette année ».

Commentaires :

La CFDT-MAE ne peut se satisfaire de la réponse sur une revalorisation du « coût-vie », revalorisation salariale qui serait liée aux seules ressources de l’établissement. Les différences de traitement entre les agents de recrutement local des ambassades, consulats et résidences d’un côté, et des EAF de l’autre, sont injustifiables. Comme la CFDT-MAE le demande régulièrement, la priorité du traitement de ces agents qui font vivre les instituts, doit être rappelée aux chefs des postes et directeurs des établissements, puis contrôlée par le Département.

Sur les dossiers récurrents du statut des EAF (qui nécessite une adaptation de la LOLF), de la tutelle des opérateurs (qui impose un renforcement de la DGM) et de la complémentarité des Instituts et des Alliances (qui repose sur le maintien de leur spécificité propre), la CFDT-MAE reste particulièrement vigilante.

Thèmes : CTM, EAF, réseau culturel

CTM des 24 et 25 mai 2018 : le réseau diplomatique et consulaire est-il menacé en Europe ?

3 juillet 2018

Lors du comité technique ministériel (CTM) de mai dernier, la CFDT-MAE a souhaité obtenir des précisions sur le bilan des postes de présence diplomatique (PPD) et l’évolution du réseau diplomatique et consulaire en Europe. Cette intervention fait écho aux graves menaces, pesant sur le Département, dénoncées par la CFDT devant le Ministre.

  • Bilan des postes de présence diplomatique

Sur les postes de présence diplomatique (PPD), la CFDT constate que la fiche du dossier de séance est précise en matière de suppressions d’ETP réalisées lors des deux vagues de PPD : – 219,5 postes et ce n’est pas rien ! Mais les éléments fournis sont plus évasifs sur l’évolution des frais de fonctionnement. Si les dotations de fonctionnement sont présentées en légère baisse (-5%), les dotations pour les contrats de prestation ne sont pas chiffrées, mais plutôt qualifiées de « modestes avec également de fortes disparités ». Que dit cette formule ? Peut-on savoir ce que ces transformations d’ambassades en PPD ont coûté en prestations ? L’administration a-t-elle abandonné le projet de réduire fortement les effectifs dans d’autres postes, qu’on les dénomme « PPD » ou qu’on les appelle autrement – et on pense notamment à d’éventuelles coupes à Monaco, Malte, Luxembourg ou encore à l’Islande ?

L’administration répond qu’il n’y a pas eu d’économie engendrée par l’immobilier. Elle ajoute que le bilan global diplomatique des PPD, pour la période 2013-2018, est plutôt positif. Pour elle, le modèle est la suppression des sections consulaires qui ont peu d’activités et peu de touristes à gérer. Le format des PPD de la 1ère vague est de 6 ETP, celui de la seconde de 8 ETP et la moyenne est de 7 ETP pour les 25 postes concernés. Le format PPD, et donc la distinction entre « ambassades PPD » et « ambassades non PPD », n’est plus forcément pertinent puisque ce sont plutôt les effectifs, le périmètre et le volume des activités qui sont à prendre en compte.

S’agissant du travail de l’agent de catégorie B, chargé d’affaires en l’absence de l’ambassadeur « PPD », il est enrichi par des tâches diplomatiques et de représentation. Selon l’administration, beaucoup d’agents seraient candidats sur ces postes.

  • Spécificité du réseau diplomatique et consulaire en Europe ?

Sur le réseau diplomatique et consulaire en Europe, la CFDT note que « la préservation du réseau européen fait l’objet d’une réflexion distincte liée à sa spécificité », spécificité voulant dire priorité, priorité en matière économique, mais aussi par le nombre des Français qui vivent dans ces pays. De quoi cette réflexion est-elle effectivement « distincte » ? S’agit-il d’en finir avec les coupes sombres des évolutions précédentes : -69 ETP en Allemagne, -58 en Espagne, -51 en Italie, -45 au Royaume Uni, avec une baisse de -40% du budget depuis 2008 ? Notre réseau en Europe, désormais fortement réduit, peut-il enfin être considéré comme sanctuarisé ?

La DFAE indique que deux grands types de projets impactent l’activité consulaire : ceux visant à rendre un meilleur service à l’usager et ceux concernant les agents et le MEAE. Il y a actuellement 6 projets : le bloc « registre des Français et registre électoral unique », le bloc « passeports et CNI » (service payant de remise sous plis sécurisés des passeports), la pré-demande des documents et le paiement en ligne (il existe encore des difficultés juridiques et techniques à résoudre), la plate-forme « France-visas » (dématérialisation de la procédure de demande des visas), l’aide entre les postes (un poste aide un autre en cas d’augmentation soudaine d’activité) et le projet des archives numériques.

Le but n’est pas de générer des économies d’emplois, même si elles existent, mais bien de regrouper le traitement des visas (exemple du pôle de Washington pour les Etats-Unis) ou de l’état civil (exemples de Bruxelles pour la Belgique et de Berlin pour l’Allemagne). Il faut et faudra toujours des agents pour faire face aux crises et gérer les élections. En ce qui concerne la dématérialisation de l’état civil au SCEC à Nantes et dans le réseau (projet de loi ESSOC), une expérimentation de 3 ans est prévue de 2019 à 2022. Enfin, sur les propositions du rapport d’inspection commune IGF/IGAE, aucune décision n’a été prise.

Thèmes : CTM, PPD, Réseau consulaire, réseau diplomatique

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