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Recrutement par détachement au titre du handicap : la CFDT-MAE se félicite d’avoir été entendue par l’administration !

21 novembre 2025

La CFDT-MAE se félicite que l’administration ait entendu sa demande d’augmenter le nombre de places offertes, cette année, pour la procédure de « promotion-détachement » réservée aux collègues en situation de handicap.

Un dispositif innovant salué par la CFDT-MAE

Ce dispositif a été mis en place à titre expérimental en 2022, initialement pour une durée de trois ans. La CFDT-MAE avait immédiatement salué cette procédure innovante et porteuse d’espoir, qui permet aux collègues en situation de handicap d’être acteurs de leur parcours professionnel et constitue, pour nombre d’entre eux, la seule manière de voir leur carrière progresser.

Un nombre de places offertes jugé insuffisant par la CFDT-MAE

C’est ainsi que traditionnellement, chaque année, une place en catégorie A et deux places en catégorie B étaient offertes pour le recrutement d’agents en situation de handicap par la voie du détachement. La CFDT-MAE, lors d’instances de dialogue social formelles et des groupes de travail avec la DRH, n’avait pas manqué de relever que le nombre de places offertes était insuffisants.

Une prise de position forte de notre organisation syndicale

En décembre 2024, à l’occasion de la tenue du comité social d’administration ministériel, la CFDT-MAE s’était exprimée avec force devant nos autorités (extrait) :

« La CFDT-MAE souhaiterait cependant clarifier le dispositif [de recrutement au titre du handicap par la voie du détachement] et ses modalités de mise en œuvre en toute transparence :

  • sur le choix des membres de la Commission chargée d’évaluer l’aptitude des candidats (art 6 du Décret) ;
  • sur la mise en place d’un accompagnement des agents candidats : une aide à la préparation de leurs dossiers RAEP et oraux blancs (aide en ligne comme il existe actuellement pour l’examen professionnel de secrétaire de chancellerie de classe supérieure ou exceptionnelle par exemple).

Ensuite, la CFDT-MAE aimerait proposer que l’administration associe les organisations syndicales à une réflexion sur la répartition du nombre de postes offerts chaque année via la voie classique de recrutement au titre du handicap (pour les candidats externes) et la voie du détachement (pour les agents déjà fonctionnaires et en interne). Il nous semble en effet qu’en termes de ratio des détachements / recrutements au titre du handicap, il serait préférable de valoriser les compétences de nos propres agents, qui sont déjà fonctionnaires au ministère, déjà formés, déjà expérimentés.« 

La CFDT-MAE se réjouit du nombre de places porté à 5 en 2026 !

A la suite de notre demande portée au sein de la plus haute instance de dialogue social, il sera proposé en 2026, pour la première fois au Ministère, deux places en catégorie A et trois places en catégorie B ! La CFDT-MAE se réjouit de cette avancée notable pour les collègues en situation de handicap qui souhaitent voir leur carrière progresser et se voient ouvrir de nouvelles perspectives en changeant de corps et de catégorie.

* * *

La CFDT-MAE remercie la Task-force « Égalité professionnelle, Inclusion et Diversité » d’avoir répondu favorablement à sa revendication qui bénéficiera à l’ensemble de nos collègues en situation de handicap. Avec ce type d’avancées, modestes mais concrètes, la Direction des ressources humaines montre enfin toute l’importance qu’elle attache à la question du handicap !

Thèmes : CSAM, Dialogue social, Handicap, recrutement, secrétaire de chancellerie, secrétaire des Affaires étrangères

La CFDT-MAE refuse de cautionner une pratique du télétravail au rabais au sein du Département – CSAC du 05/11/2025

18 novembre 2025

A l’occasion du comité social d’administration centrale du 5 novembre dernier, l’experte de la CFDT-MAE est intervenue en séance sur l’organisation et la qualité de vie au travail, en particulier sur le dossier structurant du télétravail.

Une note de travail qui soulève bien des questions

En introduction, après avoir remercié l’administration pour la note de travail transmise aux organisations syndicales, notre experte a tenu à préciser, premièrement, que les données fournies ne répondaient pas à toutes nos questions et que, deuxièmement, les remontées du terrain dont nous faisaient part les agents n’allaient pas toujours dans le sens des informations présentées dans le document de séance.

  • Absence de la mention du caractère « télétravaillable » des fonctions dans les fiches de poste

La note du dossier précise que l’applicatif « PREVOIRH » ne permet pas « à ce stade » d’effectuer un suivi fiabilisé des fiches de poste qui comportent une mention du caractère télétravaillable ou pas des fonctions à exercer. Or, la CFDT-MAE réclame la mise en place de cette mesure, depuis plusieurs années, et cette demande est d’ailleurs inscrite au tableau de suivi des propositions du CSAC.

Mais où se situe le blocage ?

En séance, notre experte s’enquiert de la nature de ce blocage et interroge sur la raison pour laquelle cette mesure n’est pas encore mise en place. Puis, relevant que l’administration a écrit que « ce point est néanmoins intégré dans les réflexions sur les prochaines évolutions techniques de l’application », elle souhaite connaitre avec précision le calendrier de ces réflexions, les évolutions techniques envisagées et demande des réponses concrètes pour la mise en œuvre effective de cette mention.

Elle souligne par ailleurs que les agents représentés par la CFDT-MAE ont le sentiment que l’administration procrastine et freine des quatre fers pour ne pas avancer sur cette revendication légitime. Elle conclut ce point en observant que si cette demande a bien été, à nouveau, abordée en début de séance ; la même réponse floue et d’attente qui a été apportée par l’administration, de surcroît déjà entendue lors de CSAC précédents, peine à convaincre.

  • La remise en cause du télétravail au Département

Il nous revient que dans des services au nombre croissant, on observe une tendance perceptible des encadrants, ces derniers mois, à vouloir limiter le nombre de journées de télétravail accordées aux agents. Si cela peut aisément se comprendre dans des situations exceptionnelles ou pour des durées limitées dans le temps, la généralisation de cette pratique est néanmoins préoccupante.

Des pratiques préoccupantes

Concrètement, cette remise en cause peut revêtir plusieurs formes telles que le refus systématique, opposé à tous les agents, d’accorder une journée particulière de la semaine en télétravail ou bien la diminution, d’une année sur l’autre, de deux à un jour de télétravail acceptés par semaine ou bien encore la non prise en compte de l’ancienneté et de l’expérience d’un agent et de sa situation personnelle et familiale (exemple : proche aidant) dans la décision de lui octroyer un, deux ou trois jours de télétravail par semaine.

Par ailleurs, il est utile de rappeler que, dans le cadre du télétravail flottant, l’autorisation générale de télétravail ne signifie pas pour autant que toutes les demandes de journée de télétravail seront forcément validées par le chef de service qui, comme cela a été observé dans certains cas, essayera de dissuader les agents de les poser. Dans la même veine, on nous rapporte un nombre croissant de journées fixes de télétravail qui seraient annulées sans qu’elles ne puissent être compensées par une autre journée de télétravail. Il nous revient également que dans certains services, « un délai de carence » est imposé d’office avant d’examiner les demandes de télétravail présentées par les agents. De plus, cette ancienneté minimale exigée dans le service, lorsqu’elle est supérieure à un an, peut être considérée comme abusive.

L’absence d’une véritable formation de l’encadrement à la gestion du télétravail demeure un problème

Notre organisation a eu l’occasion d’évoquer le point lorsque nous avons discuté de formation : l’absence d’une véritable formation de l’encadrement à la gestion du télétravail, disposition nouvelle et innovante, demeure un problème. Et cette situation dommageable impacte non seulement la qualité de vie au travail des agents mais concerne également l’efficacité de l’action publique. On nous rapporte ainsi que certains encadrants non formés n’osent parfois pas déranger leurs collaborateurs en télétravail, sur leurs heures de service, alors qu’ils sont tout à fait en droit de le faire. Il y a donc là aussi toute une nouvelle culture à promouvoir.

Faciliter la pratique du télétravail au MEAE

On rappellera enfin, dans la même perspective, que dans son plan pour la transition énergétique, la DNUM prévoit une politique de dotation des agents et le lancement de travaux de modernisation des systèmes de visioconférence afin de faciliter le télétravail. La CFDT-MAE souhaiterait donc que chaque service au Département joue le jeu pour que cette modalité de travail, dont la pratique bénéficie autant au Département qu’aux agents, puisse réaliser tout son potentiel.

En réponse, l’administration a semblé réservée sur la possibilité de faire porter la mention « télétravaillable ou non » dans les fiches de postes. Intervenant en séance, le Sous-directeur de la stratégie RH a souligné que la DRH, comme elle s’y était engagée, n’avait pas procrastiné pour examiner cette question. Toutefois, il a mis en avant la difficulté à déterminer avec précision, pour l’ensemble des postes, la quotité des fonctions télétravaillables ou pas.

S’agissant du constat de l’absence de formation des encadrants du Département à la pratique du télétravail, relevé par la CFDT-MAE, l’administration a répondu que la Direction des ressources humaines avait prévu de diffuser un guide des bonnes pratiques à destination des managers.

Thèmes : CSAC, Dialogue social, Formation, Management, Télétravail

Les collègues en position normale d’activité (PNA) ne doivent pas faire l’objet de discriminations ! CSAC du 05/11/2025

18 novembre 2025

La CFDT-MAE vous invite à prendre connaissance de l’intervention de son experte, au comité social d’administration centrale (CSAC) du 5 novembre 2025, sur la situation particulière des agents en position normale d’activité (PNA) au ministère de l’Intérieur.

En effet, plusieurs collègues affectés à la Direction générale des Étrangers en France (DGEF), nous ont alertés sur les discriminations dont ils font l’objet dans le cadre de leur parcours professionnel.

  • Une méconnaissance de la spécificité du parcours professionnel des agents du Département

Les agents en PNA nous ont tous fait part de la méconnaissance et/ou du manque de prise en compte – par la hiérarchie de leur ministère d’accueil – de la spécificité de leur parcours professionnel en tant qu’agents du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.

La CFDT-MAE demande au Département d’entamer un dialogue étroit et pérenne avec le ministère de l’Intérieur afin que cesse ces agissements à l’encontre de nos collègues.

  • Trois difficultés principales ont ainsi pu être identifiées 

1/ l’extrême difficulté pour les agents en PNA de pouvoir postuler à des missions de renfort (un seul départ a été possible en 2024 d’une agente de catégorie B à Tunis, après plusieurs mois de négociation) ;

2/ la quasi-impossibilité pour les agents du MEAE de se porter bénévoles pour participer à la réponse téléphonique du Centre de crise et de soutien (CDCS). Ainsi, faisant suite aux demandes exprimées par plusieurs collègues, un courriel a été envoyé aux agents de la sous-direction des visas (SDV) expliquant que : « Sur le plan administratif, les agents du MEAE affectés à la SDV étant rémunérés sur le budget du ministère de l’intérieur, il est difficilement possible d’être affecté temporairement et ponctuellement au sein de la cellule de crise du MEAE en plus de leur activité principale pour le M.INT. ». Et bien que ce sujet ne soit plus d’actualité, lors de l’opération « Consulat olympique » à Nantes, toutes les candidatures (sauf une) des agents du bureau du contentieux de la sous-direction des visas ont été refusées ;

3/ le manque de souplesse en matière d’affectation concernant les durées de type 2+2 à l’administration centrale et les départs en poste. En effet, les agents en PNA ont le sentiment qu’il leur est plus difficile de pouvoir accéder aux mêmes possibilités d’affectation que leurs collègues travaillant au MEAE, leur hiérarchie étant moins encline à les laisser partir car leurs postes, généralement peu attractifs, ont du mal à être pourvus.

* * *

La CFDT-MAE estime que les postes de travail en PNA gagneraient en attractivité si les agents du MEAE, qui y sont affectés, bénéficiaient des mêmes possibilités, dans le cadre de leur parcours professionnel, que leurs collègues travaillant au sein du MEAE : à savoir pouvoir effectuer des missions de renfort, des missions de bénévolat au CDCS et candidater aux postes à l’étranger de la Transparence complémentaire.

Thèmes : Affectations, CSAC, Dialogue social, PNA

Délocalisation de 245 agents sur le site de Spallis : il faut désormais aller plus loin que la mesure crédit-temps !

13 novembre 2025

En présence du Directeur général de l’administration et de la modernisation, la CFDT-MAE a remercié la Direction des Immeubles et de la Logistique, lors du CSAC du 5 novembre 2025, pour les éléments contenus dans la fiche concernant les travaux d’aménagement, les déménagements et la délocalisation de 245 agents sur le site de Spallis (DIL, DCSD, MAI, DSE et une partie de la DGAM).

En introduction de son intervention consacrée à l’immobilier francilien, notre organisation a précisé que celle-ci reposait sur les positions exprimées par les agents concernés, par courriel ou de visu, que cela soit à Saint-Denis ou à notre permanence ou bien encore via les réponses apportées au questionnaire de notre enquête portant sur la qualité de vie professionnelle et les conditions de travail des agents sur le nouveau site de Spallis.

  • La mise en place par la DRH d’un crédit-temps automatique de 30 minutes a été la bienvenue

Tout d’abord, nous souhaiterions rappeler qu’en moyenne, le temps de transport aller-retour du domicile au travail a été augmenté d’environ 30 minutes par agent, avec toutefois des disparités assez prononcées puisque plus de 50% des agents délocalisés font état d’une augmentation de la durée supérieure à 30 minutes, dont la moitié comprise entre 60 et 90 minutes. A ce titre, la mise en œuvre par la DRH de la mesure crédit-temps de 30 minutes par jour a été la bienvenue.

  • Il existe encore de nombreux sujets de préoccupation et d’insatisfaction

Néanmoins, la CFDT-MAE a recensé un certain nombre de sujets de préoccupation qui concernent à la fois la DIL mais aussi la DRH et le fonctionnement des services concernés.

Le bruit et la confidentialité des échanges restent un facteur problématique sur les plateaux du nouveau site

En effet, si les agents semblent aux trois quarts satisfaits des infrastructures et des nouvelles installations sur le site de Spallis, un grand nombre de personnels mettent toutefois en avant le manque de confidentialité (bulles pour les échanges pas très conviviales et trop transparentes) et surtout déplorent le bruit ainsi que la difficulté à passer ou à recevoir des appels professionnels depuis les postes de travail.

En outre, certains lieux de passages demeurent trop exigus et la circulation des agents dans ce contexte peut déranger des collègues à leur poste de travail. Cette pollution sonore et parfois visuelle est source de déconcentration, d’autant plus que certains agents sont quelquefois gênés par la présence de broyeuses plus ou moins éloignées des espaces de travail.

De surcroît, près de 40% des agents interrogés évoquent des problèmes de confort thermique qui seraient liés à des dysfonctionnements de la climatisation et du chauffage.

En réponse au caractère exigu des espaces de travail du nouveau site, la DIL rappelle que de nombreuses bulles et salles de réunion ont été créées et qu’elles peuvent être utilisées par l’ensemble des agents.

Par ailleurs, s’agissant plus spécifiquement des assistantes sociales, la DIL a indiqué réfléchir à l’attribution de bureaux de passage sur les autres sites parisiens.

Les demandes de compensation sur lesquelles l’administration s’était engagée

Un autre sujet d’insatisfaction et de désillusion pour les agents délocalisés est le manque de garantie sur l’octroi effectif de mesures compensatoires demandées à plusieurs reprises par la CFDT-MAE telles que la facilité de bénéficier de 3 jours de télétravail ou bien encore l’assurance d’une inscription prioritaire à la Transparence. Pire encore, il semblerait que rien n’ait vraiment évolué dans ce sens, voire même plutôt reculé, en particulier sur la question centrale du télétravail.

La CFDT-MAE a bien pris connaissance des retours positifs annoncés par le Sous-directeur de la stratégie RH sur le télétravail à Spallis mais ceux-ci diffèrent sensiblement de ceux que les collègues nous signalent de leur côté et ceci par plusieurs canaux différenciés. En effet, réticences, préjugés, discours contradictoires et interdiction de demander plus d’un jour de télétravail sont souvent cités comme griefs par les agents ayant essuyé un refus de la part de leur hiérarchie (bien souvent en amont de toute demande officielle). Il y a probablement là un point de méthode à définir entre les chiffres satisfaisants du bilan dressé par l’administration, d’une part, et le constat beaucoup moins favorable exposé par près d’un tiers des agents, d’autre part, afin de pouvoir concrètement faire aboutir toutes les demandes de télétravail réellement exprimées au sein des services.

L’absence de prime reste préjudiciable et est mal vécue par les agents

Par ailleurs, une autre demande forte des agents concerne le versement d’une prime qui permettrait de compenser les aspects négatifs du changement de site pour les personnels.

Certes, il est vrai que l’administration ne s’était engagée, lors d’une réunion du 16 décembre 2024 avec les organisations syndicales, qu’à explorer les différentes pistes réglementaires possibles en ce domaine et notamment celle, prometteuse, de la prime de restructuration, mais son absence est mal perçue par les collègues affectés récemment à Saint-Denis. Ainsi, nonobstant les difficultés réglementaires et budgétaires pour parvenir à verser une prime aux personnels concernés – à nouveau rappelées en séance par le Sous-directeur de la stratégie RH – la CFDT-MAE invite l’administration à rechercher une autre voie de compensation financière comme celle, par exemple, de l’attribution d’une prime exceptionnelle ou bien d’un complément de CIA.

En séance, l’administration assure avoir bien noté nos revendications ainsi que celles des autres syndicats concernant le déménagement à Spallis.

  • Le local intersyndical à Spallis

Toujours concernant le nouveau site de Spallis à Saint-Denis, la CFDT-MAE a constaté que le local intersyndical était sous-dimensionné en termes de superficie et peu adapté à un usage confidentiel et pluriel syndical et demande si une solution d’amélioration peut être envisagée sur ce point.

Le DGA estime que le local syndical à Spallis est, effectivement, exigu et demande à la DIL, en plus de l’utilisation possible des espaces communs, de réfléchir à une solution alternative (agrandissement ou attribution d’un autre local).

Le site des Invalides

Enfin, et bien que la DIL ne pilote pas les travaux d’aménagement actuel de l’accueil du boulevard des Invalides du Ministère des Outre-Mer, la CFDT-MAE en demande la date prévisible de fin du chantier.

L’administration précise que l’accueil des Invalides devrait être rouvert à partir du 12 novembre, avec un portique sécurisé [réouverture depuis confirmée].

Thèmes : agents titulaires, contractuels, Dialogue social, DIL, Immobilier, Primes, Rémunération, Spallis

Projets immobiliers à Nantes : toujours rien à l’horizon…

13 novembre 2025

La CFDT-MAE vous propose de retrouver l’intervention de notre experte, au CSAC du 5 novembre dernier, sur les projets immobiliers à Nantes toujours au point mort. L’absence d’éléments sur ce point, dans la fiche transmise aux organisations syndicales, semble en être d’ailleurs l’exact reflet.

  • A Nantes, on navigue toujours à vue et sans éclaircie à l’horizon

En effet, malgré de nouvelles contraintes en matière de transition écologique, de rationalisation immobilière et du refus de la Direction de l’immobilier de L’État (DIE) d’autoriser la construction d’un nouveau bâtiment (Breil V) à Nantes, la stratégie d’expansion du site nantais reste d’actualité pour la Direction des immeubles et de la logistique (DIL), avec le maintien du projet d’accueillir à terme 1 400 postes de travail (ETP) au lieu des 1 150 aujourd’hui.

La densification des bâtiments de Breil va se poursuivre 

Désormais, à la suite du rejet de la DIE de l’édification d’un nouvel immeuble de bureaux, sur le site de Breil, qui aurait permis d’éviter la densification des espaces de travail, la DIE invite le Département à concentrer ses efforts sur la rénovation énergétique des bâtiments et préconise une optimisation de l’occupation des surfaces existantes.

La CFDT-MAE rappelle qu’elle est favorable aux mesures de transition écologique dès lors que celles-ci ne conduisent pas à une dégradation des conditions de travail des agents.

  • Une maintenance des locaux vétustes effectuée au cas par cas

Certaines décisions techniques concernant les bâtiments nantais de Breil I, III et IV ne pouvant plus attendre (sécurisation, aménagement, réparation et rénovation des locaux), les services de la DGAN s’adaptent au cas par cas et en fonction des besoins et des urgences à traiter, sans pouvoir anticiper puisque les données du schéma pluriannuel de stratégie immobilière (SPSI) de Nantes sont dépassées et que l’abandon du projet de construction d’un nouvel immeuble complexifie l’exercice de densification des effectifs nantais sur une surface limitée à 35 000 m2 de surface utile brute.

La CFDT-MAE s’interroge sur cette politique de maintenance « au fil de l’eau » des bâtiments qui ont largement souffert d’un sous-investissement depuis de nombreuses années.

  • Quid des projets d’aménagement des espaces de travail dans un contexte de densification ?

A Nantes, comme nous l’avions précédemment annoncé, notre organisation syndicale a obtenu la garantie de la DGAN et de la Sous-directrice du SCEC que la densification des espaces de travail imposée par la nouvelle doctrine gouvernementale ne se fera pas à marche forcée et en sacrifiant la qualité de vie professionnelle et les conditions de travail des agents.

La CFDT-MAE sera particulièrement vigilante sur le non-franchissement de sa ligne rouge qui demeure, plus que jamais, les flex offices et les open spaces et autres espaces de travail « innovants ».

* * *

En substance, la Direction des immeubles et de la logistique (DIL) répond que la situation est complexe en raison de la vétusté de certains locaux et qu’il s’agit de trouver « la bonne formule ».

Pour la CFDT-MAE, la problématique immobilière nantaise actuelle repose sur l’asymétrie évidente entre la volonté du Ministère d’augmenter les effectifs nantais de 250 nouveaux postes de travail d’un côté, et le manque de locaux disponibles pour les accueillir dans de bonnes conditions de l’autre. Dès lors qu’aucune solution satisfaisante et garante du bien-être au travail des agents ne pourrait être trouvée, notre syndicat estime qu’il conviendrait alors d’abandonner ce projet.

Thèmes : breil, CSAC, Dialogue social, DIL, Immobilier, Nantes, Rénovation

La CFDT-MAE intervient au CSAC pour dénoncer l’écart grandissant du barème des primes mensuelles entre les catégories d’agents !

10 novembre 2025

A la suite de sa 1ère intervention au CSAC du 5 novembre 2025 portant sur le régime indemnitaire des agents à l’administration centrale, la CFDT-MAE a souhaité revenir sur cette question essentielle, lors d’une seconde prise de parole, en choisissant de mettre l’accent sur l’évolution des primes versées entre les différentes catégories d’agents.

Les indemnités de fonctions, de sujétions et d’expertise (primes mensuelles IFSE)

En effet, s’agissant des primes mensuelles (IFSE), la CFDT-MAE a souhaité alerter l’administration, en séance, sur le fossé qui s’est creusé depuis une dizaine d’années entre les différentes catégories de personnels .

  • Le fossé entre catégories d’agents s’est creusé depuis 2016

Bien entendu, il n’est pas question pour notre syndicat de remettre en cause le régime indemnitaire actuel de telle ou telle catégorie d’agents du Ministère, qu’il convient notamment de maintenir corrélé avec le degré d’exposition hiérarchique et les responsabilités exercées, mais bien de signaler avec force à l’administration l’écart grandissant qui s’est creusé entre les catégories d’agents pour l’attribution des primes mensuelles IFSE.

  • Un décrochage qui s’est accentué entre les collègues A et A+

Aujourd’hui, en catégorie A, l’écart de primes entre un secrétaire des affaires étrangères (SAE) et un administrateur de l’État du 1er grade (AE) en début de carrière, affectés sur un même poste de rédacteur politique, atteint 1 270 euros bruts par mois. Cette différence de rémunération défavorable aux SAE a donc plus que doublé en 10 ans puisqu’elle n’était que de 555 euros en 2016 entre la rémunération indemnitaire d’un SAE et celle d’un conseiller des affaires étrangères (CAE) !

  • Durant la même période, les écarts comparatifs entre les agents des catégories A, B et C se sont renforcés

Ainsi, l’écart qui existait de 400 euros environ entre un secrétaire de chancellerie du grade de base et un secrétaire des affaires étrangères, en début de carrière, affectés sur un emploi de rédacteur budgétaire ou thématique s’est encore renforcé de près de 25% entre 2016 et 2025 pour un montant d’environ 100 euros en moyenne.

Ce décalage ne fait que s’agrandir pour les agents plus expérimentés exerçant les fonctions de chef de secteur et de chefs de bureau.

De même, la différence de 200 à 250 euros environ qui était relevée en 2016 entre un adjoint de chancellerie de 1ère classe (reclassé en adjoint principal de 2ème classe de chancellerie après la réforme PPCR de 2017), en début de carrière, occupant un emploi de gestionnaire et son alter ego secrétaire de chancellerie de classe normale a encore augmenté de +1% entre les groupes les plus bas de prime des deux catégories d’agents et de +7% entre les deux groupes immédiatement supérieurs.

En séance, l’administration n’a pas démenti ce constat étayé et précis de la CFDT-MAE.

La CFDT-MAE invite donc l’administration, compte tenu de ce bilan particulièrement révélateur, à mettre en place avec les organisations syndicales représentatives un groupe de travail interne au MEAE pour faire disparaître les écarts de rémunération injustifiés entre catégories de personnels.

Le complément indemnitaire annuel (CIA)

En préambule de son intervention sur le CIA, la CFDT-MAE a tenu à remercier les collègues du bureau de l’animation du dialogue social pour les informations complémentaires apportées au tableau transmis aux organisations syndicales sur la question des montants maximaux accordés dans chaque service en 2025.

  • Un tableau des primes versées en 2025 peu satisfaisant

Toutefois, notre organisation a signalé que ce tableau ne répondait que très partiellement à la demande des représentants du personnel telle qu’elle apparaissait dans le document de suivi des propositions du CSAC. En effet, le tableau ne présente que les fourchettes de modulation, sans données de répartition, alors que la CFDT-MAE s’attendait à y trouver les montants moyens de CIA perçus par les femmes et les hommes, par catégorie et par service, nécessaires pour vérifier l’égalité de traitement des agents et déclinés selon la répartition entre les différentes modulations : basse, moyenne, haute ou très haute.

Car ce sont bien ces données qui permettent de mesurer l’équité réelle du dispositif, et non les seuls montants minimums ou maximums attribués.

L’administration a pris bonne note de la demande de modifications du tableau exprimée par plusieurs organisations syndicales.

La CFDT-MAE attend donc avec impatience la transmission de ce tableau révisé. A cet égard, notre organisation s’interroge sur l’omission de la déclinaison des montants de CIA 2025 en fonction de la modulation accordée, alors que cette donnée existait déjà, par exemple, dans le tableau présenté aux OS au CSAM de décembre 2024.

  • Un agent C perçoit en moyenne une prime annuelle 3 fois moindre que son collègue de catégorie A

Comme le montre encore les données de la campagne 2025 concernant l’attribution de la prime annuelle (CIA), censée récompenser le mérite des agents en termes d’engagement professionnel, de manière de servir et d’atteinte des objectifs, un agent de catégorie C, en moyenne, perçoit chaque année une somme trois fois moins élevée que celle de son collègue de catégorie A.

Évidemment, il n’est pas question pour notre syndicat de remettre en cause le régime indemnitaire actuel des agents A, qu’il convient au contraire de revaloriser notamment pour combler le décrochage constaté ces dernières années avec leurs collègues A+, ni même d’ignorer que le degré d’exposition hiérarchique et les responsabilités peuvent varier en fonction des postes occupés et donc in fine de la catégorie à laquelle appartiennent les agents, mais simplement de dénoncer le caractère totalement disproportionné et inique de cette situation.

D’ailleurs, ce ratio de primes de 1 à 3, déjà profondément injuste et déséquilibré, est très largement dépassé lorsque l’on compare les primes annuelles versées en moyenne aux adjoints de chancellerie avec celles octroyées aux agents A et A+ occupant des emplois dits supérieurs (appelés autrefois emplois fonctionnels), comme le montre également le tableau de la fiche transmise aux organisations syndicales.

La nouvelle bonification indiciaire (NBI)

Enfin, même si la fiche de travail n’en fait pas état, la CFDT-MAE a souhaité également revenir sur la cartographie des NBI dont notre syndicat estime qu’il est grand temps de pouvoir la réviser comme nous l’avions indiqué dans notre intervention au CSAM de décembre 2024, le dernier arrêté modificatif de répartition des NBI datant du 5 mai 2011. Le Département a-t-il un projet en ce sens ?

Malgré une réponse positive à notre question, l’administration a fait savoir, compte tenu des difficultés budgétaires actuelles, que cet exercice se ferait à périmètre constant et, par conséquent, sans augmentation possible du nombre de points de NBI attribués au Département.

Thèmes : Catégorie A, Catégorie A+, Catégorie B, Catégorie C, CIA, CSAM, Dialogue social, NBI, Primes, rifseep

Piqûre de rappel de la CFDT-MAE à l’administration pour la revalorisation des primes à la Centrale – CSAC du 05/11/2025

10 novembre 2025

A l’occasion du comité social d’administration centrale (CSAC) du 5 novembre dernier, notre expert, après avoir remercié la DRH pour la note transmise relative aux primes et indemnités à l’AC, est intervenu tant sur le volet indemnitaire (I) que sur le volet budgétaire (II) de ce dossier.

I- Ainsi, notre expert a souhaité rappeler deux demandes fortes, déjà précédemment portées par la CFDT-MAE lors du CSAM de mai 2025, et restées jusqu’à présent sans réponse :

  1. La demande d’harmonisation des montants d’IFSE entre les groupes 1 et 2 des agents de catégorie C. L’écart actuel d’environ 50 euros par mois n’a aucune justification réelle et ce, d’autant plus que les missions exercées sont très proches. Notre syndicat demande en séance à l’administration que ce point soit réexaminé ;
  2. L’obligation de la mise en œuvre du réexamen quadriennal de l’IFSE prévu par les textes de 2014, et qui n’a toujours pas été organisé au MEAE. En effet, deux cycles auraient déjà dû avoir lieu : la CFDT-MAE souhaite donc connaître le calendrier et les critères retenus pour sa mise en œuvre.

En réponse, l’administration a semblé peu ouverte à notre demande d’harmonisation des primes des groupe 1 et 2 pour les adjoints de chancellerie et, concernant le réexamen des primes des agents tous les 4 ans, a spécifié qu’elle regarderait cet item et a souligné que cela n’impliquerait pas forcément une revalorisation de l’IFSE versée aux agents concernés.

Convergence des primes mensuelles IFSE pour les agents exerçant des fonctions identiques ou similaires

De même, notre expert a relevé – en lien avec notre proposition de convergence des primes faite à l’administration dans le cadre de l’agenda de transformation du Ministère – que l’administration indiquait dans la fiche transmise aux organisations syndicales que « s’agissant de l’harmonisation des niveaux de primes IFSE entre les différentes catégories, la réflexion ne pourra être engagée que si le ministère dispose d’une enveloppe budgétaire le permettant ».

La CFDT-MAE a par conséquent demandé une explication de texte de ce passage et a posé les questions suivantes :

– de quelle harmonisation s’agit-il ?

– et pour quelle(s) catégorie(s) d’agents ?

II- Des marges budgétaires non utilisées

Sur le plan budgétaire, la CFDT-MAE a rappelé qu’une enveloppe catégorielle inscrite au projet de loi de finances (PLF) 2025, d’un montant de près de 2,9 millions d’euros, était destinée à financer des mesures catégorielles. Ces crédits, selon la CFDT-MAE, auraient pu permettre une revalorisation des primes en administration centrale.

La CFDT-MAE a demandé confirmation du montant de cette enveloppe pour 2025 et des mesures effectivement financées.

L’administration a confirmé ce chiffre de 2,9 M€ et a précisé que ces crédits avaient été consacrés à la revalorisation des salaires des ADL et à celle des majorations familiales et donc qu’elle avait choisi de ne pas faire porter l’effort budgétaire sur les primes des agents en administration centrale.

* * *

La CFDT-MAE regrette que l’administration n’ait pas envisagé d’affecter une partie de ces crédits catégoriels disponibles [près de 3 millions d’euros !] à une revalorisation des primes en administration centrale, dont le coût resterait limité au regard du montant de l’enveloppe budgétaire.

Thèmes : Administration centrale, CSAM, Dialogue social, Primes, Rémunération, rifseep

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