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Archives pour avril 2025

Salaires des collègues ADL en Égypte : la CFDT-MAE ne lâche rien !

30 avril 2025

Le 12 juin dernier au CSAM, notre expert Sameh, le secrétaire de la section CFDT-MAE en Égypte avait alerté nos plus hautes autorités sur la situation financière désastreuse du personnel local et revendiqué une hausse substantielle des salaires des collègues ADL.

Son intervention, étayée et percutante, avait permis d’obtenir de l’administration une revalorisation rétroactive – au 1er janvier 2024 – de +34% de tous les salaires des agents recrutés locaux, y compris ceux de l’Institut français, soit 24% au titre de la mise en œuvre du coût-vie 2024 et 10% pour l’application d’une première tranche de revalorisation du cadre salarial.

Malgré ce succès obtenu par les militants CFDT-MAE, nos collègues ADL en Égypte continuent de subir de plein fouet, et depuis plusieurs années, les conséquences de la dévaluation de la monnaie égyptienne et de l’inflation galopante. A titre d’exemple, les agents ont perdu, depuis 2022, 100 % de leur pouvoir d’achat et la perte s’élève même à 175 % en ce qui concerne les produits alimentaires. De même, les études comparatives réalisées par le poste mettent en évidence des différences de salaire de – 77 à – 172 % par rapport à ceux pratiqués par les autres représentations diplomatiques européennes.

Pour toutes ces raisons, la CFDT-MAE soutient la demande légitime et argumentée du poste de mise en place d’une deuxième tranche de revalorisation du cadre salarial qui devra aller bien au-delà de cette première tranche de 10%, afin de permettre à tous nos collègues recrutés locaux de retrouver enfin un niveau de vie décent à hauteur de leur engagement et en adéquation avec la situation économique du pays.

La CFDT-MAE vous invite à prendre connaissance du courrier adressé le 29 avril au Directeur général de l’administration et de la modernisation afin qu’une revalorisation conséquente soit attribuée aux personnels locaux lors de la prochaine commission unique (revalorisation et coût-vie).

Diplo IA : vous pouvez compter sur la CFDT pour exercer pleinement son devoir de vigilance syndicale !

28 avril 2025

Jeudi 24 avril, l’Administration a présenté aux organisations syndicales (OS) le nouveau service sécurisé « DiploIA », développé par la DNUM et son équipe de data scientists et qui, à présent abouti, sera accessible aux agents du MEAE à partir de ce lundi 28 avril.

Etaient notamment présents, les représentants de la CFDT-MAE et ceux des autres organisations syndicales, le Directeur des ressources humaines, la Directrice de la DNUM, le Chargé de la gouvernance des données (IA) ainsi que le Responsable du centre de formation linguistique de l’Académie diplomatique et consulaire (ADC).

Un impact certain sur les collègues traducteurs en France et à l’étranger et sur les fonctions de rédacteurs politiques et de conseillers diplomatiques 

« DiploIA » est un service sécurisé et souverain doté, à son lancement, de deux outils permettant d’assurer des transcriptions audio/vidéo vers du texte et des traductions quasiment instantanées de textes en français ou en langues étrangères. L’objectif affiché est de supprimer les activités chronophages et/ou répétitives afin de laisser la part belle à l’analyse et la conception de stratégies politiques, sans oublier de faciliter le travail de certains de nos collègues qui se trouvent en situation de handicap.

Prises de notes, synthèses de documents, traductions, ces activités seront bientôt réalisées par une intelligence artificielle (IA), ce qui qui devrait fortement impacter le corps des traducteurs, certaines fonctions dévolues aux rédacteurs politiques du MEAE mais également le travail des conseillers diplomatiques en poste et de leurs collaborateurs recrutés locaux, en particulier ceux qui, travaillant au sein des services de presse et du suivi de la politique interne, ont conservé une forte activité de traduction.

  • La CFDT-MAE intervient en séance pour mettre en avant ses revendications et ses sujets d’inquiétudes sur la mise en place de l’IA au Ministère

En préambule, la CFDT-MAE souligne qu’elle aura l’occasion de revenir plus en détail, dans d’autres instances, sur les projets touchant les domaines consulaire et diplomatique (et notamment au prochain CSAM prévu les 27 et 28 mai prochains).

Des interrogations sur le nouveau service « DiploAI »

Notre organisation interroge la DNUM sur le niveau de performance égal ou supérieur à Google Traduction du nouveau service ainsi que les prochains outils qui seront disponibles sur « DiploIA ».

En réponse, la DNUM indique que ce sont les différents outils d’évaluation (métriques METEOR, BLEU et COMET) qui mesurent le mieux le niveau de traduction et qui attribuent à DiploIA des résultats équivalents voire supérieurs à ceux de Google Traduction.

S’agissant de la confidentialité des données, la DNUM ajoute que les documents et traitements générés sont supprimés immédiatement après chaque utilisation. En complément, il est annoncé que le prochain outil développé et mis à disposition des agents portera sur la création automatique d’un document de synthèse, capable de résumer un corpus de documents. Enfin, une Charte de l’utilisation de l’IA sera prochainement disponible.

  • La CFDT-MAE souhaite assurer une vigilance syndicale forte sur l’IA

Aujourd’hui, puisque la question de l’IA touche à de nombreux aspects de la vie professionnelle, la CFDT-MAE développera un discours transverse, qui ira bien au-delà de la présentation des deux outils de transcription et de traduction. En effet, notre organisation souhaite assurer une vigilance syndicale sur la mise en place de l’IA dans les services, et notamment son impact sur la formation, les emplois, les effectifs, l’utilisation des données et des algorithmes et la place laissée à l’humain dans son interaction avec l’IA.

En matière d’effectifs et d’évolution des emplois et plus généralement de gestion des ressources humaines (GRH)

Si la CFDT-MAE constate, comme d’autres, que nous ne sommes qu’au début de la « révolution IA », notamment au MEAE, à l’inverse on sait déjà que son impact technologique va bouleverser tous les métiers, toutes catégories confondues, à des degrés divers et à des horizons pour certains très proches.

Dans ce cadre, Thierry Franquin, secrétaire général de la CFDT-MAE, a adressé à l’administration les questions suivantes :

– quelle est la stratégie mise en œuvre, au sein du Ministère, concernant l’usage de l’intelligence artificielle en matière de gestion des ressources humaines ?

– quels seront, outre le corps des traducteurs, les corps ou fonctions les plus exposés par l’arrivée de l’IA au Ministère ?

– à l’inverse, quels seront les corps et/ou fonctions les moins susceptibles d’être touchés ?

– enfin, l’Administration a-t-elle prévu un accompagnement au changement des personnels impactés ?

En réponse, le DRH précise, qu’en matière d’effectifs, l’arrivée de la bureautique et de l’informatique avait suscité à l’époque les mêmes craintes sur la disparition des métiers des agents mais sans que cela ne se vérifie par la suite. Les métiers évoluent mais qui peut prédire l’avenir avec certitude ? Il y a ce que l’on sait prévoir d’une part et ce que l’on ignore totalement d’autre part. Il s’agit aujourd’hui d’internaliser au MEAE des outils d’usage externe qui existent (et sont parfois déjà utilisés par les agents) et qui devraient certainement produire des gains de productivité mais sans toutefois entraîner des suppressions d’effectif.

Organisation du travail, Transparence et promotions et besoin en formation

La CFDT-MAE a également questionné l’Administration sur les répercussions de la mise en œuvre de l’IA sur les modalités et l’organisation du travail des agents et les tâches effectuées (au regard notamment de l’augmentation de la productivité attendue, éventuellement pour combler les sous-effectifs chroniques constatés dans certains services ou postes) et sur la manière dont les agents seront administrativement et professionnellement gérés (carrières, parcours, affectations, promotions…).

Droit à l’explicabilité des décisions prises par l’algorithme d’une machine

Quelles seront les explications transmises par l’administration aux personnels concernés insatisfaits et quels seront les droits de recours que pourront exercer ces agents ?

Quelles formations seront proposées à l’ensemble des agents du Ministère et quelles sont les conséquences attendues pour les agents utilisateurs et sur les relations des agents avec le public ?

Enfin, quelle sera la place accordée aux organisations syndicales qui souhaiteraient faire remonter des difficultés rencontrées par les agents sur ces nouveaux outils, en tant qu’utilisateur mais aussi d’usager, et en particulier sur les nouveaux outils en matière de GRH/GPEEC en lien avec le SIRH ?

Concernant la refonte éventuelle du SIRH et la GPEEC, l’administration indique qu’il n’existe pas de projets liés à l’IA en ce sens mais simplement un projet de modernisation numérique consistant à créer une nouvelle interface pour relier les 34 applications RH existantes entre elles.

En matière de formation, la connaissance de l’IA est essentielle et doit être rapportée à l’humain. A aucun moment la machine ne doit prendre le pas sur l’homme ou la femme dont l’intervention et la prise de décision restent indispensables. Si l’utilisation de l’intelligence artificielle donne assez souvent d’excellents résultats et c’est le cas en matière de traduction par exemple, les résultats peuvent être aussi beaucoup moins bons, ce qui fait apparaitre un besoin de formation afin d’appréhender l’utilisation de cette nouvelle technologie et de pouvoir y apporter les corrections nécessaires en cas de besoin. Les trois webinaires organisés par l’Académie diplomatique et consulaire, aujourd’hui tous complets, seront prochainement publiés en ligne et le cycle de Master class sur l’IA proposé en partenariat avec le Sorbonne Center for Artificial Intelligence (CIA) sera reconduit.

En matière de dialogue social et professionnel

L’intelligence artificielle doit être une technologie inclusive et juste vis-à-vis des personnels et ne doit laisser personne sur le bord de la route. Les agents, mais aussi leurs représentants, ne doivent pas être mis de côté. Dès lors, le dialogue social au Département doit intégrer les sujets de la transition numérique en marche. Il est ainsi absolument nécessaire que l’ensemble des projets liés à l’IA fassent l’objet de concertation et de négociation avec les représentants du personnel. La CFDT-MAE a ainsi dénoncé l’aboutissement du projet DiploAI sans que les organisations syndicales, ni les instances de dialogue social n’aient été informées et a ainsi plaidé pour qu’elles soient dorénavant associées aux réflexions en amont de chaque nouveau projet. En outre, la CFDT-MAE, comme les autres organisations syndicales, soutient la création d’un groupe de travail régulier sur la question de l’IA.

En matière de déontologie, d’éthique et de transparence des algorithmes

L’IA pose de nouvelles questions aux agents du Département dans ses usages comme dans sa conception et notamment à ceux de la DNUM en prise avec les questions déontologiques et éthiques dans l’élaboration des nouveaux outils. En effet, il apparaît important que l’utilisation de cette nouvelle technologie numérique soit encadrée et que le choix et la pertinence des données et/ou l’utilisation des traitements algorithmiques automatisés n’introduisent pas des discriminations et des inégalités dans les résultats obtenus.

Transparence versus opacité du fonctionnement des algorithmes

Une autre inquiétude à relever, est celle de l’opacité du fonctionnement des algorithmes et donc de la manière dont les choix sont opérés par la machine dont la logique semble parfois échapper au plus grand nombre. Il ne s’agit pas là de dévoiler les codes informatiques mais bien de rendre compréhensibles les paramètres et les critères mis en œuvre par l’intelligence artificielle.

L’humain doit rester en contrôle sur le système

Pour la CFDT-MAE, il est essentiel d’établir une ligne de partage nette entre ce qui relève de la compétence humaine d’un côté, et du rôle d’aide et d’assistance à la prise de décision dévolu à l’intelligence artificielle, d’autre part. L’humain doit rester en contrôle sur le système et pouvoir corriger, toutes les fois où cela est nécessaire, les biais et les dysfonctionnements observés.

* * *

Si la CFDT-MAE n’est pas opposée par principe à l’introduction de l’intelligence artificielle, elle considère toutefois que l’anticipation des changements et des effets engendrés par cette révolution technologique est absolument primordiale. Il est donc essentiel de consulter et d’impliquer les personnels et leurs représentants, dès la genèse des projets et bien en amont de la prise de décision.

Dans les semaines qui viennent, l’administration devrait approcher les différentes directions du Ministère afin de recenser des sujets sur lesquels intervenir en termes d’IA et notre organisation entend bien exercer pleinement son devoir de vigilance syndicale. Acteur responsable du dialogue social, la CFDT-MAE a décidé de prendre toute sa place dans ce débat pour anticiper et influencer les choix qui seront pris par le Département notamment en matière de formation et d’organisation du travail, de parcours professionnels et de carrière (affectations, évaluations et promotions), d’évolution des métiers et des effectifs, d’utilisation et de protection des données (RGPD) et de transparence des algorithmes.

Thèmes : carrières, Dialogue social, dnum, effectifs, Emploi, Ethique, Evaluation, Formation, Intelligence artificielle, numérique, Parcours professionnels, Promotions, Transparence

Encadrement supérieur de l’État : la CFDT rencontre la DIESE – 16 avril 2025

22 avril 2025

Une rencontre bilatérale a eu lieu entre la Déléguée interministérielle à l’encadrement supérieur de l’État (DIESE), Isabelle Braun-Lemaire, et la CFDT Fonctions publiques représentée notamment par sa secrétaire générale, Mylène Jacquot. 

  • Un besoin d’échanges plus réguliers

La CFDT a souligné le besoin d’échanges réguliers pour discuter et débattre des problématiques de l’encadrement supérieur de l’État.

Nécessité de réunir la formation spécialisée « encadrement supérieur »

La CFDT a, en particulier, mis en avant la nécessité de réunir au plus tôt la formation spécialisée (FS) « encadrement supérieur » du Conseil supérieur de la fonction publique de l’État (CSFPE) après un an sans réunion. En réponse, la Déléguée DIESE a convenu de l’intérêt de réunir cette instance qui permettra de formaliser un certain nombre de thématiques et d’avoir des débats sur ces sujets. 

  • Les points que souhaitent voir aborder la CFDT

Parmi les points qui pourraient être abordés lors des prochaines réunions de la FS figurent les lignes directrices de gestion interministérielles LDGI (dont une 1ère version avait été soumise au CSFPE) et les données statistiques sur les parcours professionnels des agents à différentes étapes de leurs carrières (au début, au milieu et à la fin).

Point d’étape sur le travail effectué par les délégations ministérielles à l’encadrement supérieur

La CFDT a également souhaité qu’un temps d’échange soit accordé aux collègues en instance d’affectation, ce qui suppose un point d’étape sur le travail effectué par les Délégués à l’encadrement supérieur dans les ministères (DES) en lien avec la DIESE. 

  • Pilotage de la réforme de l’encadrement supérieur

S’agissant du pilotage de la réforme de l’encadrement supérieur, il est important pour la CFDT Fonctions publiques de pouvoir revoir et améliorer les points suivants :

Sur la connaissance des effectifs

Le corps des administrateurs de l’État comprend 5 106 fonctionnaires soit 27% des effectifs sur une population totale de 18 961 agents appartenant à l’un des corps de cadres supérieurs figurant à l’annexe II du décret n° 2022-760 du 29 avril 2022 portant application de l’article L. 412-1 du code général de la fonction publique. Pour mémoire, les autres corps sont ceux des ingénieurs et des administrateurs et inspecteurs généraux de l’INSEE (27,5%), des magistrats administratifs et financiers (13,5%), des corps en extinction (3%) [celui du CAEMP au MEAE] ainsi que divers autres corps (29%) tels que ceux des architectes, des conservateurs, des directeurs des services pénitentiaires et des médecins et pharmaciens.

Les données anonymisées doivent encore faire l’objet d’un important travail à réaliser (la DIESE devrait s’appuyer sur l’outil VINCI). 

Sur les parcours et le suivi des effectifs

Des progrès sont encore à faire, notamment sur le suivi des agentes et agents qui exercent à l’extérieur des périmètres ministériels. 

Sur les comités Parcours et carrières

Le travail d’accompagnement effectué est appréciable mais il est maintenant indispensable d’encadrer l’utilisation des résultats individuels et collectifs ainsi que la conservation d’un certain nombre d’éléments d’évaluation. Des règles déontologiques de base doivent à présent être formalisées.

Sur la dynamique managériale

Une dynamique managériale doit permettre de passer de la gestion et de l’accompagnement individuels à une dimension plus collective. Là aussi, la CFDT demande la mise en place de règles déontologiques transverses couvrant l’ensemble des champs ministériels concernés. 

Sur les collègues en instance d’affectation

La CFDT a indiqué être prête à entrer en concertation, voire en négociation, sur un cadre de gestion qui permettrait de définir aussi les règles de rémunération. 

Sur l’application de la réforme aux corps techniques

Après des mois d’attente, la réforme devrait s’étendre aussi aux collègues des corps techniques. 

Sur la formation continue des cadres supérieurs de l’État 

Les prochaines semaines permettront d’avoir de premiers échanges sur le rôle et la place de l’Institut national du service public (INSP), après la publication attendue d’un rapport d’inspection sur le sujet. 

  • Intégration des agents A dans le corps des administrateurs de l’État après un détachement sur emploi fonctionnel ou à la discrétion du gouvernement

Enfin, la CFDT a alerté sur les conditions de mise en œuvre de l’accès au corps des administrateurs de l’État (AE) par intégration au titre de l’article 5 du Décret relatif à ce corps (Décret n° 2021-1550 du 1er décembre 2021 portant statut particulier du corps des administrateurs de l’État).

En effet, l’arrivée prochaine de l’échéance des 5 années des premiers détachements sur emplois laissés à la décision du gouvernement (au MEAE : ambassadeurs et CG à Jérusalem) et sur emplois fonctionnels de direction en France (chefs de service, sous-directeurs) et à l’étranger (consuls généraux et 81 numéros deux listés par arrêté du 16 avril 2022) va rendre éligibles un certain nombre d’agents classés en catégorie A à une intégration dans le corps des AE.

A cet égard, des difficultés et des interrogations de tous ordres risquent fort d’apparaître pour l’intégration des agents A dans le corps des AE et il conviendrait de les anticiper pour les traiter en amont, voire de les corriger par anticipation. 

Thèmes : Administrateurs de l'État, ASIC, Catégorie A, Promotions, secrétaire des Affaires étrangères

La CFDT reste numéro un chez les cadres du public et du privé

22 avril 2025

Les résultats de la représentativité sont tombés : la CFDT reste la première organisation chez les cadres, tous secteurs confondus, tant dans le secteur privé que dans celui du public.

La CFDT occupe la première place chez les cadres

En effet, outre la confirmation de sa place de premier syndicat de France, la CFDT a également récemment confirmé sa première place chez les cadres avec 27,51 % des suffrages obtenus, tous secteurs confondus, loin devant la CFE-CGC à 21,75 %. Ce très bon résultat a été acquis grâce à l’action collective de notre organisation syndicale et à l’investissement sans faille des élus CFDT dans toutes les instances de dialogue social et professionnel.

Un syndicalisme démocratique et inclusif, proche des préoccupations des encadrants du secteur public et du secteur privé

Ce succès témoigne de l’adhésion des managers intermédiaires et de proximité et des cadres supérieurs aux valeurs promues et aux avancées obtenues par la CFDT, aussi bien dans les entreprises que dans les administrations. C’est aussi la reconnaissance d’un syndicalisme démocratique et soucieux de la défense de l’intérêt général, bien loin de l’entre-soi militant et des clivages hiérarchiques et catégoriels promus par quelques uns. Une CFDT proche des préoccupations et de la réalité vécue par l’ensemble des salariés, des fonctionnaires et des contractuels de droit public et privé.

Un grand merci à vous !

La CFDT remercie chaleureusement toutes celles et tous ceux qui, par leur vote, leur engagement et leur travail sur le terrain, au sein des entreprises comme des administrations, ont contribué à cette victoire, légitimant encore un peu plus l’action de la CFDT auprès des cadres du privé et du public.

Thèmes : cadres, élections professionnelles, Syndicat

Travailler jusqu’à 22h au MEAE : la ligne rouge a été franchie ! (CSAC du 10/04/2025)

10 avril 2025

A la suite du rejet du règlement intérieur (RI) de la DFAE au comité social d’administration centrale du 27 mars dernier, un CSAC extraordinaire s’est tenu le jeudi 10 avril afin de soumettre au vote une nouvelle version du RI proposée par l’administration. Nous vous invitons à prendre connaissance de l’intervention de notre élue CFDT-MAE en séance :

Monsieur le Président du CSAC,

Lors de notre première rencontre à Nantes, nous vous avons indiqué que la force de la CFDT-MAE réside dans son refus de céder à la démagogie et dans sa capacité à développer la recherche du compromis, à se confronter à des intérêts divergents de façon constructive en portant des contre-propositions. Elle n’hésite pas à affirmer, avec la plus grande détermination, son opposition, chaque fois que la situation lui semble contraire à l’intérêt des agents du ministère et de leurs métiers.

Pour la CFDT, le rehaussement du travail de 20h à 22h dans les services de l’administration centrale constitue une ligne rouge que vous avez franchie au mépris des règles de la Charte du temps.

Fixer à 22h une borne horaire maximale pour les agents à Paris et à Nantes n’est pas acceptable et est révélateur d’une politique hors-sol, déconnectée des réalités et des contraintes de la vie quotidienne des agents.

C’est pour ces raisons que la CFDT-MAE milite en faveur de bornes horaires maximales de travail, entre 6h et 20h, aussi bien à Paris qu’à Nantes.

Lors du CSAC du 27 mars dernier, le CFDT a été la seule organisation syndicale à voter CONTRE le projet de règlement intérieur d’administration centrale instituant une borne horaire maximale fixée à 22h pour tous les services de l’administration centrale du ministère. En l’absence d’opposition des autres syndicats le texte est passé et cette mesure entrera en vigueur d’ici quelques semaines.

Lors de ce même CSAC, la CFDT et l’ensemble des organisations syndicales ont voté CONTRE le projet de règlement intérieur des services de la DFAE. Grâce à cette opposition unitaire, l’administration a été contrainte de reconvoquer un CSAC extraordinaire et de revoir sa copie !

  • Une nouvelle version réécrite du projet de règlement intérieur de la DFAE nous est donc présentée aujourd’hui. A la lecture de ce texte, la CFDT constate qu’elle a été entendue sur plusieurs points :

D’abord, nous avions dénoncé en mars la non-conformité de la version précédente du projet de règlement intérieur de la DFAE avec la règlementation en vigueur en matière de temps de travail, fixée en France à 35h hebdomadaires : un règlement intérieur ne peut pas contenir des dispositions contraires à la loi. L’article concernant le pôle Service France Consulaire a donc été révisé et les dispositions changées pour se conformer à ce que prévoit la réglementation.

En outre, nous avions revendiqué une série de contreparties au profit des agents du pôle Service France Consulaire. Deux d’entre elles, ont été prises en compte : la prise en charge du trajet en taxi des agents de la brigade du soir et une pause pour le dîner de 45 minutes minimum.

Néanmoins, en dépit de ce qui a été fait depuis nos interventions au CSAC du 27 mars, nous déplorons que l’administration ait refusé de consentir à la solution de compromis, réaliste et clé en main, conciliant les objectifs de réponse téléphonique jusqu’à 22h, que la CFDT a proposée pour permettre aux agents du pôle Service France Consulaire de ne pas travailler après 20h. Puisque 90% des appels des usagers sont traités par une société privée, c’est-à-dire le call center de niveau 1, rien ne s’oppose à contourner les appels vers le prestataire de 20h à 22h, libérant ainsi nos collègues de France Consulaire sur ces horaires tardifs.

  • La CFDT est profondément attachée à la qualité du service rendu aux usagers mais cela ne doit pas se faire au détriment de la qualité des conditions de travail des agents du ministère.

Travailler après 20h perturbe l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée, et peut entrainer des problèmes de santé, des difficultés relationnelles et une diminution de la motivation au travail. Travailler tard le soir peut augmenter les risques d’accidents en raison de la fatigue et du stress. La fatigue et la diminution de la concentration peuvent entrainer des erreurs qui seraient imputées aux agents. L’impact sur la vie familiale est négatif notamment pour les agents qui ont des enfants ou des proches qui ont besoin de leurs présences (aidants familiaux). Le travail après 20h entraine par ailleurs des coûts supplémentaires pour le ministère (tels que les coûts de sécurité et autres). Travailler après 20h peut avoir un impact négatif sur la motivation et la satisfaction et entrainer une augmentation du turnover dans l’équipe.

  • Pour toutes ces raisons, nous renouvelons notre revendication de revoir à la baisse, soit à 20h au lieu de 22h, l’horaire maximal de la réponse téléphonique obligatoire pour nos collègues du pôle France Consulaire.

Par ailleurs, nous souhaitons souligner que cet horaire de fin de service excessif fixé à 22h ne peut être justifié par les nécessités de service puisqu’il existe une solution alternative*, celle que nous proposons et qui garantit la continuité de l’activité du service entre 20h et 22h.

La DFAE nous a démontré au cours de cette instance qu’elle n’avait aucune visibilité sur la volumétrie des appels téléphoniques entre 20h et 22h. Pourquoi, malgré cette inconnue, l’administration a choisi de modifier le règlement intérieur des services de la DFAE et par effet de ricochet le règlement intérieur de l’ensemble des services de l’administration centrale du Ministère ?

Cette méthode de raisonnement  consistant à tirer vers le bas les conditions de travail de tous les agents de l’administration centrale, pour expérimenter et évaluer la pertinence d’une réponse téléphonique entre 20h et 22h, est, de notre point de vue, contraire au bon sens. La CFDT ne comprend pas pourquoi sa proposition de recourir au prestataire pour cette expérimentation n’a pas été prise en compte.

La CFDT aurait pu revoir sa position, cependant, en l’absence d’avancée significatives et de contreparties concrètes, la CFDT votera à nouveau CONTRE ce projet de règlement intérieur des services de la DFAE.

* Le pôle est organisé en deux parties : un call-center situé à Laval et un pôle administratif ici à Nantes. Les appels de nos compatriotes expatriés arrivent au call-center qui comprend une soixantaine de téléconseillers qui effectuent une réponse de premier niveau. Ce call-center de niveau 1 répond aux questions courantes, seuls les appels demandant une expertise consulaire ou ceux à caractère d’urgence sont transmis ici à Nantes au pôle SFC, qui constitue donc le niveau 2 du dispositif. Le niveau 2 traite les appels et les emails le plus souvent en différé. Il y a donc un décalage entre le contact de l’usager avec le niveau 1 et le retour qu’il reçoit du niveau 2.

Les consulats continuent de recevoir et traiter des sollicitations de nos compatriotes lorsque SFC et le call-center de niveau 1 sont fermés. Il n’est en effet pas possible de répondre au téléphone à l’ensemble des français expatriés sur tous les fuseaux horaires depuis la France, sauf à faire travailler des personnels jour et nuit, 7j/7 et 24h/24. C’est pourquoi la France a des consulats à l’étranger et c’est bien leur raison d’être.

Aujourd’hui, le service fonctionne de 9h à 17h et couvre 62% des français inscrits au Registre et notamment les plus grosses communautés françaises, qui se trouvent en Europe et couvre également sans problème l’Afrique ainsi que le Moyen-Orient puisque par exemple, à l’ouverture du service à 9h le matin, il est 12h (midi) à Dubaï et à Port-Louis. D’abord parce que cela nécessiterait de modifier par ricochet le règlement intérieur d’administration centrale en impactant les conditions de travail des 1200 agents nantais pour satisfaire aux besoins d’un pôle de 30 personnes. Enfin cette plage horaire ne permettra de toute façon pas de couvrir complètement la journée dans l’ensemble du réseau et sur tous les fuseaux horaires.

Pour la CFDT, il y a une autre organisation possible que ce qui nous est présenté. Voici ce que nous proposons et qui pourrait constituer une solution de compromis dans le cadre de l’intégration des continents américain et asiatique.

La CFDT propose donc de limiter la présence des agents de France Consulaire à Nantes de niveau 2 à la plage 7h-20h, soit une réduction de 2h seulement par rapport à ce qui est envisagé par la DFAE. Nous resterions ainsi dans les bornes horaires du règlement intérieur d’Administration Centrale.

Le nouveau marché prévoyant une extension des horaires du call-center de 7h à 22h dès l’intégration des futurs pays d’Amérique et d’Asie la DFAE à, en réalité, d’ores et déjà l’assurance que le prestataire assurera une réponse systématique aux usagers sur les appels de niveau 1 de 20h à 22h. Lorsque France Consulaire ouvrira à 7h à Nantes, il sera 15h à Tokyo et lorsqu’il fermera à 20h, il sera 15h à New-York ou à Montréal mais le call-center leur répondra jusqu’à 17h. Les collègues opérant au niveau 2 pourront rappeler le cas échéant à la demande du niveau 1 les usagers d’Amérique du Nord dès leur arrivée le lendemain à 7h. Nos compatriotes posant une question relevant du niveau 2, plus complexe que la moyenne, ne s’attendent pas à avoir une réponse immédiate. N’oublions pas non plus que de nombreux usagers contactent SFC par email et n’attendent donc pas une réponse dans la minute. Une astreinte pourra être mise en place et confiée à un encadrant nantais entre 20h et 22h.

Au nom de la CFDT-MAE, nous vous demandons de revoir le présent projet de règlement intérieur de la DFAE et de prévoir une ouverture du pôle Service France Consulaire de 7h à 20h, ce qui constituerait pour nous une solution de compromis dans la mesure où la réponse téléphonique serait assurée par le prestataire de 20h à 22h.

Thèmes : Administration centrale, CSAC, Dialogue social, Nantes, règlement intérieur

La CFDT-MAE négocie des avancées pour les agents du Service France Consulaire

10 avril 2025

Le comité social d’administration centrale (CSAC) extraordinaire, qui s’est réuni le 10 avril dernier à Nantes, avait pour objet de soumettre aux votes des représentants du personnel une nouvelle version du règlement intérieur de la DFAE proposée par l’administration. A cette occasion, la CFDT-MAE a réitéré sa demande de mesures compensatoires en faveur des agents du service France consulaire.

S’agissant des horaires de travail décalés, la CDFT a indiqué qu’elle souhaitait avoir la confirmation que le choix de ces plages horaires se fera sur la base du volontariat. Si l’administration prévoit de les imposer, elle devra accompagner cette obligation d’une série de compensations concrètes pour les agents du service France Consulaire : pour compenser la pénibilité des horaires atypiques et décalés (1) et offrir des conditions de travail en adéquation avec les horaires qui leur sont imposés (2) :

1/ Compensation de la pénibilité du travail en horaires décalés. Même si règlementairement il ne s’agit pas d’horaires de nuit, faire travailler un agent de 7h à 22h constitue des horaires atypiques, concept théorisé et étudié en médecine. Enchainer des journées où l’on commence à 7h du matin (départ de chez soi à 6h) et des journées où l’on finit à 22h le soir (retour chez soi à 23h) est tout bonnement épuisant car cela ne suit pas le rythme biologique naturel de l’être humain. L’épuisement dû au cycle circadien causé par un travail en horaires décalés est exponentiel pour les plus fragiles. C’est par exemple la double peine lorsqu’on a des enfants en bas-âge avec des nuits hachées, ou bien une condition de santé fragile et/ou un handicap. Selon l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité pour la Prévention des Risques Professionnels) et la fédération des Maisons Médicales, nombre de maladies neurologiques, psychiques, psychiatriques, métaboliques, coronariennes et cardio-vasculaires, nécessitent d’avoir des horaires de sommeil et de travail réguliers. Enfin, toujours selon l’INRS, pour les femmes enceintes, le travail en horaires décalés ou atypiques augmenterait le risque d’avortement spontané, d’accouchement prématuré et de retard de croissance intra-utérin.

Cette compensation de la pénibilité doit passer, selon la CFDT, par 4 mesures :

  • l’attribution d’une NBI ;
  • un temps d’affectation limité à deux ans, comme c’est le cas dans certains services difficiles du ministère (CDCS, Cabinets etc.) ;
  • un crédit horaire ou des journées de récupération quand l’activité est à son pic (dernier exemple en date : la dissolution de l’assemblée nationale) ;
  • une autorisation élargie de télétravail pour tous les agents qui en font la demande, jusqu’à 3 jours hebdomadaires.

2/ Installation d’une kitchenette à SFC et attribution de tickets restaurant pour chaque jour travaillé en brigade du soir. Pour les frais de restauration des agents terminant à 22h, l’article L732-2 du code général de la fonction publique précise que « lorsque son employeur public ne peut le faire bénéficier d’un dispositif de restauration collective compatible avec le lieu d’exercice de ses fonctions, des titres-restaurants peuvent être attribués à l’agent public dans les conditions prévues par le chapitre II du titre VI du livre II de la troisième partie du code du travail ». A titre de comparaison, les agents travaillant tard le soir au Quai d’Orsay ou au centre enterré du CDCS bénéficient, à juste titre, d’un plateau repas préparé par les cuisines de l’hôtel du Ministre.

La CFDT-MAE comprend la priorité de l’Administration, qui est de répondre à une commande politique. Pour autant, sur les modalités de travail, nous ne pouvons accepter un texte qui nuira à la santé et à la sécurité des agents et qui contrevient à la Charte du temps.

La CFDT toujours premier syndicat de France !

9 avril 2025

Pour la troisième fois consécutive, la Confédération française démocratique du travail (CFDT) s’impose comme la première organisation syndicale des salariés du secteur privé en France avec 26,58 % des suffrages et plus de quatre points devant la CGT, qui occupe la deuxième place.

Cette position de leader, initialement acquise en 2017, a concrétisé le choix d’un nouveau syndicalisme plus proche des préoccupations des salariés et de leurs réalités de travail : 2021 puis 2025 confirment largement cette tendance. Ces trois scrutins, rassemblant chacun d’entre eux plus de 5 millions de votants, reconnaissent durablement la CFDT comme la première organisation syndicale française.

  • La CFDT confirme sa 1ère place, secteurs privé et public confondus

C’est désormais officiel, la CFDT a confirmé sa place de premier syndicat du secteur privé, renforçant ainsi sa position de 1er syndicat français depuis 2018, secteurs privé et public confondus. Cette place, elle la doit à la confiance que lui accordent les salariés et les agents dans les entreprises et les administrations.

Cette dynamique reflète une évolution du paysage syndical français, où les salariés et les agents publics et de l’État semblent privilégier des approches axées sur la négociation et le compromis pour défendre leurs intérêts. La CFDT, en consolidant sa position de leader, se trouve ainsi en mesure de peser davantage dans les négociations nationales interprofessionnelles et de continuer à promouvoir un syndicalisme constructif et efficace.

  • Un syndicalisme responsable et d’avancées concrètes pour les salariés du secteur privé et les agents de l’État et de la fonction publique

Ce succès témoigne de la confiance renouvelée des salariés et des agents envers un syndicalisme réformiste et pragmatique, axé sur le dialogue social et la négociation pour obtenir des avancées concrètes. Cette première place confirme que le syndicalisme de la CFDT, capable de faire des propositions et d’obtenir des résultats concrets, répond aux attentes des personnels.

Notre force est notre capacité à chercher des solutions pour améliorer les conditions de travail en formulant des propositions responsables sans être dans l’opposition systématique et stérile.

  • La CFDT-MAE est fière d’appartenir à ce grand syndicat

La CFDT-MAE demeure fidèle aux principes qui avaient conduit à sa création et continue à promouvoir une expression intercatégorielle et interstatutaire du syndicalisme, toutes filières confondues et sans distinction hiérarchique. C’est la raison pour laquelle nous accompagnons tous les agents, quel que soit leur statut (fonctionnaires, recrutés locaux et contractuels de droit public) et quelle que soit leur catégorie (A+, A, B et C), partout en France et à l’étranger.

Pour la CFDT-MAE, les transformations du travail ne se font pas en opposant les catégories d’agents. En effet, le syndicalisme réformiste porté par notre organisation syndicale défend un encadrement motivant et bienveillant et prône l’instauration d’un dialogue constant avec l’administration permettant l’amélioration concrète des situations de travail, dans l’intérêt de toutes et de tous.

  • Rejoignez le premier Syndicat de France !

Plus nous serons nombreux et nombreuses, plus nous serons forts pour porter la voix de tous les agents qui composent notre Ministère. En rejoignant notre organisation syndicale, vous ne serez plus seul(e) pour être informé(e), soutenu(e) pour défendre vos intérêts et vos droits et appuyé(e) dans vos démarches revendicatives individuelles et collectives.

Thèmes : agents de l'état, agents publics, CFDT, Dialogue social, élections professionnelles, fonction publique, secteur privé, Syndicat

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Marylise Léon présente la CFDT

https://youtu.be/mLU9Wqmyico

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Création d’un groupe de travail sur les agents de droit local : mais de qui se moque-t-on ?

Situation salariale des recrutés locaux en Égypte – CSAM des 27 et 28 mai 2025

Les compétences acquises par les secrétaires de chancellerie affectés dans les PPD ne sont pas assez valorisées

Panels pour les postes d’encadrement supérieur en administration centrale – CSAM du 27 mai 2025

La CFDT-MAE s’adresse au DGA en l’absence du Ministre – CSAM du 27 mai 2025

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